
Du 26 au 28 Août le parti socialiste prétendait lancer sa campagne présidentielle à Nantes lors de son université d'été. Courageusement face à la fronde populaire le PS a annulé ce RDV pour le délocaliser en région. Brest a été sélectionnée pour la Bretagne !
Le 24 septembre prochain aura donc lieu de 9h à 17h l’Université de « l'Engagement » au parc des Expositions de Penfeld.
Parmi les 600 personnes attendues, Cambadelis, El Khomri, Vallaud-belkacem et Urvoas sont annoncés !!!
On ne compte plus les raisons d'être révolté-e par la politique de ce parti au pouvoir : état d'urgence, loi travail, projets imposés et inutiles (centrale à gaz, projets miniers, aéroport de Notre Dame des Landes, extractions de sable...), politique xénophobe, répression policières...
C'est une occasion unique ! Comme à Nantes, faisons leur payer leurs politiques de merde !!!
Rejoignons nous pour perturber leur kermesse « socialiste » !
RDV samedi 24 septembre à 8h sur le parking devant la patinoire de Bellevue à Brest pour prendre part à la fête.
Pour cette grande journée, toutes initiatives seront les bienvenues, apportez vos provisions !
A l'abordage !
Premiers signataires :
Collectif Brestois contre la loi travail, Comité NDDL Brest, Comité bigouden NDDL, Comité NDDL Morlaix, Comité Quimper Cornouaille NDDL, Assemblée de lutte de Brest, AG Citoyenne Finistère, Pas d'avenir sans AVENIR, Assemblée des Monts d'Arrée, Nuit Debout Quimper, Collectif anti répression du Finistère, Collectif Grain de sable dans la machine, NPA Brest...
Acculé par les mobilisations massives des 9 janvier et 27 février, le gouvernement a organisé en juin une consultation biaisée. Se croyant forts du résultat de cette mascarade, les pro-aéroport et le premier ministre ont confirmé leur intention de procéder cet automne à l'évacuation et à la destruction de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, de ses cultures, de sa faune et de sa flore, de ses habitats et activités ainsi que des liens entre toutes celles et ceux qui se sont attaché.es à ce bocage. Ces déclarations font fi de la situation juridique du dossier puisqu'entre autres les autorisations de travaux ne sont toujours pas accordées.