Du 02 mars au 15 avril 2009 va se dérouler à Brest le Printemps des poètes. Comme l’annonce les organisateurs, le rire en rimes sera le fil conducteur de l’édition 2009 de cette sympathique manifestation qui verra se succéder expositions, animations, lectures et rencontres. Le préambule proposé par les organisateurs annoncent d’amblée l’état d’esprit de l’événement :“Les gens qui ne rient jamais ne sont pas sérieux” Alphonse Allais.
La onzième édition du Printemps de poètes nous invitent à “En rire(s)” et à découvrir Jean Tardieu, poète et dramaturge. Cette invitation est bien venue. Parce que, en ces temps troublés, toutes occasion de rire est à saisir et que la découverte et redécouverte de la poésie par le biais de l’humour s’avère variée et passionnante. Ainsi que le présente Jean-Pierre Siméon, directeur artistique de l’événement “C’est mal connaître la poésie que de la cantonner à une gravité sourcilleuse, austérité, spleen et mélancolie! ... Oui, tous les rires sont dans la poésie, sauf le vulgaire et le mesquin, car même s’il rit, le poète reste poète : questionneur, rebelle et éveilleur de conscience”.
La onzième édition du Printemps de poètes nous invitent à “En rire(s)” et à découvrir Jean Tardieu, poète et dramaturge. Cette invitation est bien venue. Parce que, en ces temps troublés, toutes occasion de rire est à saisir et que la découverte et redécouverte de la poésie par le biais de l’humour s’avère variée et passionnante. Ainsi que le présente Jean-Pierre Siméon, directeur artistique de l’événement “C’est mal connaître la poésie que de la cantonner à une gravité sourcilleuse, austérité, spleen et mélancolie! ... Oui, tous les rires sont dans la poésie, sauf le vulgaire et le mesquin, car même s’il rit, le poète reste poète : questionneur, rebelle et éveilleur de conscience”.
“vulgaire”, “mesquin”... là c’est sûr, cette année les sections FO et CFDT des transports urbains brestois ( ici et là ) seront disqualifiés d’office et ne pourront participer au concours mis en place par l’association Red An Amzer autour de la rédaction de poèmes sur un ticket de bus sur le thème de “l’instant joyeux”. Nos deux instances syndicales pourront se dire qu’elles seront en pôle position si un concours de la satire syndicale est lancé à Brest.
En lot de consolation, je propose aux disqualifiés de concourir à leur place avec mon petit poème à moi.
humour de bus
abus d’humour
humour suspect
désamour sans paix
Après l’humour choc, un ticket chic en quelque sorte.
- Blog des poétickets
: http://poetickets.over-blog.org
En lot de consolation, je propose aux disqualifiés de concourir à leur place avec mon petit poème à moi.
humour de busabus d’humour
humour suspect
désamour sans paix
Après l’humour choc, un ticket chic en quelque sorte.
- Blog des poétickets
: http://poetickets.over-blog.org
Vraiment outragée et injuriée la CFDT par le
La liberté d’expression syndicale s’arrêterait t-elle où commence l’expression de fausse pudibonderie de façade de ceux qui en font les frais ? Au final, les postures de “Père la morale” mises en avant par la société BIBUS et la CFDT apparaîtraient suspectes. A croire que la perche polémiste proposée maladroitement par le choix d’illustration de FO servirait bassement à l’opérateur de transports urbains et au syndicat caricaturé pour faire évacuer du débat le fond des revendications évoquées dans le document incriminé. La société BIBUS, par sa procédure de référé pour interdire la diffusion du tract semble déjà avoir gagné la première manche. A contrario, les procédures juridiques conjointes de BIBUS et de la CFDT apporteront désormais une visibilité nationale à une communication syndicale qui au départ n’ambitionnait qu’à se restreindre à la cible confidentielle des chauffeurs de la compagnie de transports brestois. En dehors d’éventuellement considérer de mauvais goût le choix du dessin humoristique fait par FO afin d’illustrer sa perception d’un soi-disant manque de combativité du syndicat majoritaire CFDT dans ses démarches revendicatives auprès de la direction de BIBUS, on arrive rapidement à la conclusion qu’il n’y avait pas là de quoi casser trois pattes à un canard, fut t-il enchainé. Où l’on comprend bien vite que l’appréciation artistique de l’illustration en question aurait pu se régler les yeux dans les yeux entre BIBUS et les deux syndicats et non dans l’enceinte d’un tribunal.