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europe

  • Clip de la Confédération Paysanne contre TAFTA

    Un film court réalisé par la Confédération Paysanne pour comprendre les enjeux de TAFTA.

    Pour approfondir : 

    - Le Tafta, ou la gouvernance mondiale aux seules multinationales
    Par la Confédération Paysanne

    - Collectif national unitaire Stop TAFTA

    - Tract 4 pages du collectif national unitaire Stop TAFTA

    - Signez la pétition Toutes et tous hors Tafta !

  • Quartiers Communs : deux projections-débat au programme

    Deux projections-débat sont programmées au Centre social L'Escale à Brest (Quartier de Pontanézen) dans le cadre de Quartiers Communs.

    Prix libre.

    Jeudi 13 mars à 19h30 - Projection du documentaire « Ne vivons plus comme des esclaves » .

    Nevivonspluscommedes esclaves.jpgFilm réalisé par Yannis Youlountas avec le concours de Maud Youlountas - 2013 - Durée 1h29

    Dans les ruines de la Grèce, le berceau d'un autre monde... Venu des catacombes grecques de l’Europe, un murmure traverse le continent dévasté : « Ne vivons plus comme des esclaves » (prononcer « Na mi zisoumé san douli » en grec). Sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et sur les radios rebelles, dans les lieux d’occupation et d’autogestion qui se multiplient, tel est le slogan que la résistance grecque diffuse, jour après jour, et nous invite à reprendre en chœur sur les mélodies de ce film à ses côtés. Un grand bol d’air frais, d’enthousiasme et d’utopies en marche, venu de la mer Égée.

    - En savoir plus sur "Ne vivons pas comme des esclaves".


    Bande annonce

    Samedi 15 mars à 17h – projection du documentaire « Mouvement Immigration Banlieues  ».

    Film réalisé par Reynald Bertrand - 2003 - Durée : 51 mn

    MIB-Crédit_photo-Le_Compte_Goutte.jpgDe septembre 2001 à juillet 2002, de Mantes-la-Jolie à Dammarie-lès-Lys, chronique de luttes autonomes qui se sont déroulées sur des quartiers populaires en réaction aux dispositifs discriminatoires tels que la double peine, ou encore suite à des violences ou crimes policiers. Ces luttes, dont le devenir est incertain face à la raisond'Etat, interrogent la gestion policière des populations issues de l'immigration et sont l'expression d'un combat pour la dignité et l'égalité. Ce film retrace l'histoire d'un mouvement pris en main par les principaux concernés en quête d'une expression politique directe.

    - En savoir plus sur le MIB (Mouvement Immigration Banlieues)

  • A Bruxelles, le lobby des pro veut faire la loi (sur l’eau) !!!!

    Communiqué de presse de l'ACIPA et CéDpa

    Acipa_CeDpa.jpgNous revenons de Bruxelles avec un sentiment mitigé ; nous pourrions être satisfaits d’avoir entendu la commission européenne dire qu’une procédure d’infraction était en cours depuis 2009 contre la France pour non respect de la directive sur les évaluations environnementales et que le cas de NDL entrait dans ce cadre. Le « saucissonnage » des procédures permet en effet d’éviter de montrer les effets cumulés sur l’environnement des investissements connexes (routes, tram-train, zones d’activités etc.).

    Cependant nous regrettons que la commission semble croire sur parole l’État français quand il assure qu’il respectera la loi sur l’eau, à sa manière sans doute. Nous regrettons qu’elle n’ait pas voulu statuer à ce stade sur de possibles infractions sur les autres directives environnementales, et qu’elle reporte son jugement final à l’analyse des décisions à venir (arrêté loi sur l’eau et déplacement des espèces protégées).

    En tout état de cause, nous avons eu confirmation que les études complémentaires, auxquelles on nous demandait de participer « en toute transparence » étaient déjà faites et que la concertation proposée en préfecture n’était qu’un simulacre.

    Au moment où la nouvelle conférence environnementale doit démarrer, nous attendons de la rencontre promise avec le Ministre de l’Écologie des réponses claires sur les décisions qu’il entend prendre dans les semaines à venir.

    Les pro-aéroport vont bien évidemment crier victoire et affirmer que tous les feux sont au vert. Ils auraient tort de vouloir revenir sur le terrain pour démarrer les travaux rapidement et déplacer les espèces protégées car le projet reste sous la surveillance rapprochée de la commission européenne, et la partie juridique n’est pas terminée. Surtout, la mobilisation populaire continue et continuera jusqu’à ce que la raison et le droit l’emportent et que le projet soit enfin abandonné.

    Contacts presse :
    Françoise Verchère (CéDpa) : 06 73 37 67 76
    Julien Durand (ACIPA) :  06 33 51 01 25

    S'informer, se mobiliser :

    - Les arguments CONTRE le projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Coordination des opposants au projet d'aéroport

    "Désintox : Notre-Dame-des-Landes ou les bobards du PS"
    Dans un dépliant de 4 pages, l'ACIPA démonte un à un les bobards du Parti Socialiste...

    - « Examen de l'analyse Coûts/Bénéfices de l'aéroport du Grand Ouest - Comparaison avec des améliorations sur Nantes Atlantique » - Etude du cabinet d'études européen indépendant  CE-Delft  réalisée à la demande du collectif d’élus opposés au projet d’aéroport de Notre Dame des Landes (CEDPA). CE-Delft a passé au crible l’analyse globale de l’enquête d’utilité publique datée de 2006.

    - 10 questions et 10 réponses dans Nantes Passion ou quand le « magazine de l’information municipale » désinforme ses lecteurs - par Louisette Guibert et Bertrand Vrain, conseillers municipaux de Nantes, Les Alternatifs.

    - Les occupant-E-s de la ZAD (Zone à Défendre)

    - Collectif de lutte contre l’aéroport de Notre Dame des Landes

    - Paroles de campagne Notre Dame des Landes

    - ACIPA (Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d’Aéroport de Notre Dame des Landes)

    - CéDpa : Collectif d’élus Doutant de la pertinence de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes

  • Un ANI qui nous veut du mal !

    Rarement un accord national interprofessionnel (ANI) aura entériné autant de reculs pour les salarié-e-s que celui conclu le 11 janvier 2013 entre le patronat et trois syndicats.

    A l'initiative d'Attac et de la Fondation Copernic, un collectif d'organisations associatives, syndicales et politiques lancent un appel pétitionné pour dire NON à cet accord régressif.

    A signer et faire circuler largement !

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    ANI.jpg

    L’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier signé par le patronat et certaines organisations syndicales représente un recul social majeur. Les soi-disant « nouveaux droits pour les salariés » sont en réalité de portée limitée et comportent nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement. Par contre, les mesures en faveur  du patronat portent des coups sévères au droit du travail. Cet accord s’inscrit dans le droit fil des préconisations, appliquées partout en Europe, de la Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international) : démantèlement du droit du travail,  chantage à l’emploi pour baisser les salaires et les droits sociaux au nom de la compétitivité. Il contribuera ainsi à la spirale dépressive dans laquelle les politiques d’austérité enfoncent l’Union européenne.

    L’accord aggrave encore, après les lois Fillon de 2004 et 2008 qu’il faut abroger, la remise en cause de la hiérarchie des normes en permettant de nouveau qu’un accord d’entreprise soit moins favorable que la convention collective et que la loi : en cas de « graves problèmes conjoncturels » de l’entreprise (quelle entreprise ne connaît pas de problème conjoncturels et surtout qui en jugera ?), il ne laisse d’autre choix au salarié que d’accepter la baisse de son salaire et l'augmentation de son temps de travail sous peine de licenciement. L’accord réduit considérablement les droits et les possibilités de contestation et de recours à la justice des salariés et de leurs représentants. Il remet en cause des prérogatives importantes des instances représentatives du personnel et renforce le pouvoir des employeurs, notamment celui d’imposer la « mobilité » des salariés (changement de lieu ou de poste de travail).

    Loin de permettre « la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels des salariés » cet accord va, au contraire, aggraver la précarité du travail en libérant le patronat de nombre d'obligations. En dépit des promesses qui avaient été faites par le gouvernement, l'accord ne réduit pas les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes, alors même que la précarité de l'emploi concerne en premier lieu les femmes, prépondérantes dans le temps partiel (80%) et plus souvent touchées par les CDD, le chômage et le sous-emploi.

    Enfin cet accord est illégitime. Il a été signé par trois confédérations syndicales représentant une minorité de salariés, alors même que les règles de représentativité syndicale sont sur le point de changer. Les parlementaires de droite se disent prêts à voter ses dispositions telles quelles, mais ni le président de la République, ni la majorité de l’Assemblée nationale n’ont été élus pour faire reculer les droits des salariés. Transposer ces reculs sociaux dans la loi représenterait donc un grave déni démocratique.

    Nous appelons les salariés-es, et plus largement, tous les citoyen-ne-s à lire ce texte, à l’analyser, à tenir partout des réunions pour en débattre ensemble et faire entendre leurs exigences auprès de leurs élus, tout particulièrement ceux de gauche, pour qu’ils ne votent pas ce texte. L'heure est bien plutôt à la sécurisation des emplois contre les licenciements, pour un travail de qualité, sans précarité, avec des droits sociaux de haut niveau pour les salariés, les chômeurs et les retraités. Nous ferons tout pour que cet accord n’acquière pas force de loi et nous appelons à soutenir toutes les initiatives en ce sens, en particulier les mobilisations syndicales.

    Appel soutenu par : Attac, CADAC, CGT Commerce Paris, CGT Hôtels Prestiges et Economiques, CGT-Finances, CNDF, CNT-Solidarité ouvrière Ile-de-France, Convergence de défense et développement des services publics, Convergences & Alternative, Fédération pour une alternative sociale et écologique, Fondation Copernic, FSU, Gauche anticapitaliste, Gauche unitaire, Les Alternatifs, Les efFRONTé-e-s, Marches européennes contre le chômage, Mouvement des jeunes communistes de France, Mouvement national des chômeurs et précaires, Nouveau parti anticapitaliste, Osez le féminisme !, Parti communiste français, Parti communiste des ouvriers de France, Parti de gauche, Réseau féministe « Ruptures », Résistance sociale, République & Socialisme, Union syndicale Solidaires...

    >> signer (et faire signer) cet appel lancé par plusieurs mouvements et organisations.

    S'informer :

    - "Un résumé de l'ANI : les 54 reculs qu'il contient"
    par Gérard Filloche


    Argelès-sur-mer le 14 mars 2013 - Gérard Filoche analyse
    l'accord national interproffessionel signé le 11 janvier 2013
    entre le MEDEF et trois syndicats minoritaires (sur 8).
    Le gouvernement PS-EELV avec le soutien des députés UMP et FN
    envisage de le transposer en loi modifiant le code du travail.


    Laurence Parisot: "ce n'est pas aux... par lepartidegauche

  • Pacte budgétaire : le piège à cons...

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    Conférence - Raoul Marc Jennar - Conclusion MES, TSCG, de quoi s'agit-il ? - Avignon 24 septembre 12

    Conclusion autour de l'austérité et la réorientation de l'Europe, quoi faire ? La Coordination du Vaucluse contre le traité européen a organisé cette conférence de Raoul Marc Jennar, membre du conseil scientifique d’Attac, essayiste, sur le MES : Mécanisme européen de stabilité et le TSCG : Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance. Après les traités européens qui ont dépouillé les états de leur politique monétaire, le TSCG vient couronner le tout en les privant de leur politique budgétaire. S’agit-il d’un pas de plus vers le fédéralisme, comme nous le présentent les médias, ou de la mise en place d’un directoire au service du capital financier mondialisé, comme d’autres voix le prétendent ? Le MES est présenté comme un fonds de solidarité destiné à aider les pays de la zone euro en difficulté. Comment va-t-il fonctionner ? Peut-il atteindre son objectif de solidarité ? Pour pouvoir bénéficier du MES, les états auront dû ratifier le TSCG. François Hollande s’était engagé à renégocier ce traité, appelé aussi pacte budgétaire, il n’en est rien ! Les mesures d’austérité permanente et de liquidation des droits des travailleurs sont entièrement maintenues. Ce traité est une remise en cause de toute souveraineté nationale pour l’ensemble des pays de l’Union Européenne.


    Conférence - Raoul Marc Jennar - Conclusion MES... par Thierry-Le-Roy-84