..et si vous vous abonniez ?
Lors de leur congrès de 2015, une majorité des Alternatifs a décidé de dissoudre le mouvement pour rejoindre Ensemble. Certains ont pourtant décidé, avec d’autres, de poursuivre l’aventure alternative :
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de faire vivre un projet autogestionnaire, solidaire, féministe et écologiste
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d’agir pour mettre en pratique dans tous nos lieux de vie des méthodes et pratiques autogestionnaires
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de dénoncer et de lutter contre des modes de production qui oppriment les plus faibles
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de combattre toutes les inégalités, celles qui frappent les femmes en particulier
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et enfin de lutter pour une réelle écologie, pour la biodiversité et la protection animale, contre le nucléaire, les grands projets inutiles, la mal-bouffe …
Pour construire ce projet, ce collectif militant s’est doté d’un journal, NRVV (Noir Rouge Vert Violet).
Pas de résultats de la ligue 1,
pas de numéro «spécial grosse voiture», ni de supplément télé.
ça laisse de la place pour parler de ce dont on ne parle pas, ou pas assez ailleurs
Un nouveau journal ?
Pour quoi faire ?
Dans nos chantiers, il y a déjà un journal mensuel tout en couleurs :
Noir : pour l’autogestion, les expérimentations, les pratiques alternatives
Rouge : pour la justice sociale, le bien commun, l’égalité et les solidarités,
Vert : pour l’écologie radicale, l’objection de croissance et l’antiproductivisme
Violet : pour le féminisme, l’anti-sexisme et les antiracismes
Oh … Et puis plein d‘autres couleurs aussi !
Un journal ouvert sur des projets étonnants, des expériences enthousiasmantes, des échecs cuisants, des interrogations, des colères, des luttes
A ce qui se passe ici, fabriqué avec nos petits doigts, ou à l’autre bout de la planète.
On va commencer doucement … Dans une version provisoire de 16 pages,quadri, diffusée par nos collectifs ou sur abonnement pour pas cher, avec des plumes que vous avez déjà trouvées dans Rouge&Vert ou ailleurs.
Avec vous aussi, si vous voulez.
16 pages mensuelles, c’est du travail bénévole (les articles, dessins, maquette …)
et des frais incompressibles (l’impression, l’envoi). Ce journal n’est pas un ventre à pub.
Il ne vivra que de ses abonnements.
Donc votre abonnement est indispensable
100 abonnements à 20 euros et 30 à 40 euros, c’est la possibilité de financer les 4 premiers numéros du journal
Et la diffusion militante des journaux en nombre envoyés aux groupes et correspondantEs c’est faire connaitre notre projet et nos idées, s’abonner, nous contacter , participer et plus…
> flyer de lancement reprenant ces informations


On n'est pas dupe du côté des soutiens présents depuis l'aube venus soutenir les personnes migrantes qui occupent l'ancien immeuble des Affaires maritimes au 6 de la rue Saint Saens depuis plus de trois mois. L'immeuble doit être expulsé dans la journée. Pour l'effet de surpise, cela est râté.
L'expulsion s'est faite dans le calme. Sur les 70 personnes qui occupaient l'ancien immeuble des Affaires maritimes, seules 35 résident-e-s étaient présentes ce matin d'octobre. Les autres avaient fait le choix de partir se réfugier ailleurs deux jours avant pour se protéger d'une potentielle expulsion du territoire. Tour à tour, les résident-e-s de l'immeuble Saint-Saens sont orienté-e-s vers le barnum de la Ville d Brest pour un « accueil » administratif. Les rares chanceux auront été pour certains orientés vers le centre d'accueil de Coallia du port de commerce. Pour les autres, il leur aura été proposé quelques nuits d'hôtel pour la forme. Il faut soigner la communication préfectorale. Pas grave si le sous-prèfet exagère sur l'état d'insalubrité de l'immeuble dont les espaces de vie étaient sains et entretenus par ses occupant-e-s. La Ville de Brest aura offert dans sa grande générosité quelques conserves. Ce soir là, aucune personne migrante ne sera à la rue à Brest... du moins officiellement.
Aujourd’hui, le pouvoir socialiste veut rendre responsable de ces débordements les organisateurs des manifestations interdites. le camarade du NPA Alain Pojolat qui avait déposé son nom en représentation de l’ensemble des collectifs appelant à la manifestation du 26 juillet fait l’objet de poursuites par le parquet de Paris pour organisation de manifestation interdite. Il comparaîtra devant le Tribunal de Grande Instance de Paris le 22 octobre 2014.
Depuis le 8 juillet, début de l'offensive israélienne à Gaza, on compte plus de 1050 morts et 6 000 blessés palestiniens, dont 80 % de civils. Le quart sont des enfants. Maisons rasées, hôpitaux bombardés, établissements des Nations Unies attaqués, infrastructures détruites, Gaza est devenu un champ de ruines, dont les habitants sont, de fait, prisonniers en raison du blocus.