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emploi

  • Front social à Brest, le temps est à la mobilisation !

    Communication du Collectif brestois contre la loi travail
    14 juin 2017

    Front social,Brest,mobilisation,luttes,travail, emploi,loi travail;macron,En Marche, El khomri,Code du travail 

    Ne laissons aucun délai à Macron pour appliquer ses mesures antisociales : le temps est à la mobilisation, pas à la négociation !

    Aggravation de la loi Travail, état d'urgence permanent et répression sociale :

    C'est toujours non !

    Ces attaques toucheront plus durement les plus précaires d'entre nous, les femmes et les personnes racisées.

    Macron a prolongé l'état d'urgence et entend mener ses attaques à l'aide d'ordonnances pour passer en force.

    Il est primordial de construire la mobilisation la plus large possible en se constituant en tant que front social et ainsi se doter d'une véritable capacité d'action.

    Syndicalistes, associations et collectifs, jeunes et moins jeunes, précaires, nous devons tout-e-s passer outre l’inertie, la division et le sectarisme pour passer à l'offensive dès maintenant.

    Lundi 19 juin à 18h
    Salle des Syndicats à Brest
    (angle avenue Clémenceau, rue de l'Observatoire )

    Assemblée Générale Front Social

    Discutons organisation et mobilisation !

    Pour plus d'information sur le front social : https://www.facebook.com/FrontSocialUni

  • APPEL : Notre-Dame-des-Landes – Samedi 27 février 2016 - Mobilisation générale

    ACIPA-27022016.jpg

    >> Le car au départ de Brest est complet <<

    Recherche ou offre de covoiturage sur www.annonces-ndl.org/

    Face aux menaces du gouvernement, le mouvement anti-aéroport est plus dense et vivant que jamais. En témoignent la mobilisation en urgence de 20 000 personnes et près de 500 tracteurs sur le périphérique nantais le 9 janvier, les actions de blocages et mobilisations paysannes qui ont suivi, le rassemblement devant le tribunal de Nantes et les multiples manifestations dans des dizaines d'autres villes en France et au-delà.
     
    La résistance à Notre-Dame-des-Landes est aujourd'hui devenue emblématique de tant d’autres luttes contre les destructions environnementales et sociales, de tant de combats face à la disparition des terres agricoles ou aux causes du changement climatique. Elle marque un refus ferme de la marchandisation continue du territoire et de nos vies. Ce qui se construit sur la ZAD est porteur d'un immense espoir parce que s'y inventent d’autres manières d’habiter le monde, de cultiver, de créer et de s'organiser en commun. Les 30 et 31 janvier, c'est un millier de personnes qui sont venues participer à plus de 30 chantiers simultanés pour renforcer ce que Vinci voudrait détruire. En ces temps d'état d'urgence en passe de devenir perpétuel et d'atteinte prolongée aux libertés publiques, la détermination qui anime le bocage est un encouragement contagieux à ne pas se résigner.

    Mais le 25 janvier, le juge des expropriations a prononcé l'expulsion des paysan-ne-s et habitant-e-s légaux de la ZAD : immédiate pour les exploitations agricoles, sous deux mois pour les habitations.  Les quelques 200 nouvelles personnes qui, depuis 2007, se sont installées sur la ZAD pour y vivre et la protéger, sont, elles aussi, susceptibles d'être délogées par la force. La décision de passer à l'acte est aujourd'hui entre les mains du gouvernement.
     
    Hollande s'était engagé à attendre la fin des recours juridiques contre le projet d'aéroport. Ceux-ci ne sont pas épuisés : les recours contre les arrêtés loi sur l'Eau et Espèces Protégées sont en appel, une procédure de pré-contentieux est encore pendante devant la Commission Européenne. Pourtant, Valls, de son côté, martèle toujours sa volonté d'expulser la ZAD et de démarrer les chantiers à court terme, confortant les porteurs du projet. De premiers travaux de défrichage sont censés commencer avant la mi-mars.
     
    Si la pression sur l'ensemble de la zone est aujourd'hui plus forte que jamais, il n'est pas question de partir et de laisser la place aux tractopelles de Vinci, ni de vivre continuellement avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Il n'est pas non plus question de diminuer notre propre pression sur les porteurs du projet et le gouvernement.
     
    Au contraire, c'est maintenant qu'il faut enfin gagner l'abandon du projet d'aéroport par notre mobilisation ! Dans le bras de fer qui s'est engagé, la puissance du mouvement dans la France entière pendant les semaines à venir va être décisive. Toutes les composantes de la lutte appellent donc à multiplier les actions de solidarité, en préambule d'une journée de mobilisation massive et générale le 27 février. Cette journée aura pour mot d’ordre l’arrêt des menaces d’expulsion sur les paysan-ne-s et habitant-e-s de la ZAD, ainsi que l’abandon définitif du projet d’aéroport. Nous invitons tous les comités et soutiens à relayer très fortement l'appel pour cet événement et à organiser des bus et convois pour s'y rendre.
     
    Nous nous rassemblerons le 27 février en fin de matinée, précisément là où les travaux sont censés commencer, pour y faire la démonstration concrète de notre capacité à les bloquer. Nous convergerons ensuite vers une grande fête pour l'avenir de la ZAD. Les différentes heures exactes de rendez-vous et points de départ des cortèges seront précisés par la suite.
     
    Celles et ceux qui habitent et cultivent la ZAD ne la quitteront pas !
    Il n’y aura jamais d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes !

    Signataires de ce texte :

    • des membres de la Coordination des opposants : ACCV, ACIPA, ADECA, Agissons Pour l’Avenir, ATTAC, CéDpa, CELA, EELV , Ensemble ! 44 et Ensemble ! national,  Greenpeace France, MEI 44, Décroissance-MOC,

    • M’PEP, Nature Avenir, NPA 44 et NPA national, OBSLAB, Parti de Gauche 44 et PG national, Rezé à Gauche Toute, Solidarités Ecologie, Sèvre propre 2015, Union Syndicale Solidaires 44, Vertou écologie Solidarité, ….

    • le COPAIn 44 (Confédération Paysanne 44, CIVAM, GAB44, Manger Bio, Accueil Paysan, Terroirs 44)

    • des occupant-e-s de la ZAD

    • l’assemblée du mouvement réunie le 2 février

    • Les Naturalistes en lutte

    • des comités de soutien : CAAC, le collectif NDDL/Plateau de Saclay dans le 91, Collectif Vigilance Aéroport Pays de Redon et de Vilaine,  Le collectif Alsace NDDL, comite soutien ZAD-Catalunya!, Comité de Chantenay, Le collectif Sud Loire Vertou, le collectif de Chemillé, le comité bigouden, comité NDDL du Comminges (sud de la Haute-Garonne, 31), collectif d'opposants à l'aéroport de Notre Dame des Landes du pays de Saint-Malo,  le collectif des buzug du Trégor (22), Le comité Sud Vilaine, Comité NDDL 63 (Puy de Dôme), Le Comité de soutien de Ploërmel (Morbihan), …

    • des organisations diverses : Alternatives et Autogestion, Les Amis de la Confédération Paysanne, Nantes est une fête, Génération Ecologie, La Fédération de Vendée du Parti Communiste Français, Initiatives Décroissantes pour le Climat, Place au Peuple-FDG44, Ami-e-s du Front de Gauche de l'Est du Morbihan, UTOPIA, " Restons  fermes ", « collectif Bon pied bon oeil",

  • Nous, sommes des surnuméraires

    Extrait de l'émission "Des idées sous les platanes" du 17 juillet 2014. Une émission de Xavier de La Porte, sur France Culture, réalisée lors du festival d'Avignon.

  • Intermittents et précaires invités au festival des Vielles Charrues

    Le jeudi 17 juillet 2014, des intermittents et précaires du Finistère étaient  invités à participer à une table ronde organisée par la WebTV du festival des des Vieilles Charrues pour évoquer la mobilisation contre la dernière convention régressive MEDEF UNEDIC.

    Se tenir informé de la mobilisation :

    Coordination des  Intermittents et Précaires d'Ile de France (CIP-IDF)

    Art en Résistance dans les Territoires - Section Finistère (A.R.T. 29 )

    - Collectif Brest en marche contre l'injustice sociale

  • La lutte des intermittent-e-s du spectacle c'est la nôtre !

     Nous somme toutes et tous des intermittent-e-s de l'emploi !

    GdB_chomeurs_ni_mendiants_ni_esclaves.jpg

    Texte du tract diffusé par le Collectif Brest en marche contre l'injustice sociale

    Le 22 mars 2014 les syndicats CFDT, FO et CFTC, avec les organisations patronales dont le MEDEF, ont signé une nouvelle convention UNEDIC, (elle règle le montant et la durée de l'indemnisation chômage).

    Malgré la forte mobilisation des intermittent-e-s du spectacle contre cette convention, le gouvernement l'a agréée le 26 juin 2014.

    La lutte des intermittent-e-s du spectacle, relayée par les médias, n'est que la face visible de l'iceberg : 80% des embauches actuelles s’effectuent en CDD !
    L’intermittence, les contrats courts et la discontinuité sont le quotidien des chômeurs et précaires.

    La lutte contre la nouvelle convention UNEDIC est tout sauf une lutte corporatiste, car elle défend les conditions de tout-e-s les chômeurs et précaires, c'est pourquoi nous en sommes pleinement partie prenante !

    Cet accord va encore dégrader les droits sociaux des plus exploités, les obligeant à accepter des emplois toujours plus précaires dans des conditions toujours plus mauvaises. Au contraire, garantissons sans conditions l’accès à l'assurance chômage à tout-e-s les salarié-e-s en emploi discontinu !

    NOUS REVENDIQUONS :

    •  L'abrogation de la dernière convention UNEDIC
    • L'augmentation des cotisations sociales par l'augmentation des salaires !

    • Un salaire inconditionnel !

    • L'abolition de toutes les formes d'exploitation !


    Sur le même sujet :

    - " Chômeurs, intérimaires, intermittents du spectacle, salariés précaires (ou qui pourraient le devenir) : pourquoi cet accord nous concerne tous !par Collectif Avignon Off de la Cip-Idf - 13 juillet 2014