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référendum

  • De Brest à Clisson c'est nous qui décidons !

    Communiqué de presse

    Les Alternatifs de Bretagne , le NPA 44 et la Gauche Indépendantiste ( Breizhistance )

    B5.JPGLes Alternatifs de Bretagne , le NPA 44 et la Gauche Indépendantiste ( Breizhistance ) défileront côte à côte samedi 28/06 dans les rues de Nantes à l’appel du collectif 44 = BZH.

    Nous invitons nos adhérents et sympathisants à venir en nombre pour s’opposer à la réforme territoriale du gouvernement de Manuel Valls qui méprise visiblement l’avis des populations concernées.

     Nous réaffirmerons que le peuple et les travailleurs de Bretagne ont le droit de librement choisir leur cadre institutionnel et droit à l'unité territoriale pour construire un autre modèle sociale, économique et environnemental.

    C’est pourquoi nous soutenons pleinement les revendications des organisateurs en matière de référendum. Nous constituerons un cortège anticapitaliste affirmant le droit à l'autodétermination et à la démocratie autour d'une banderole unitaire "De Brest à Clisson c'est nous qui décidons !  Démocratie Autodétermination !"

     

    Collectif 44=BZH

    Tous et toutes à Nantes le 28 juin à 14h00 !


    Le collectif 44=BREIZH organise un grand rassemblement le samedi 28 juin à Nantes pour réclamer le droit des habitants de Loire-Atlantique de décider du choix de leur région.Nous constatons que les citoyens n’ont pas le droit à la parole dans le débat sur la réforme territoriale.Depuis plusieurs semaines, les représentants de la Région Pays de la Loire et de la Ville de Nantes entreprennent un lobbying actif pour créer un Grand Ouest. Aucun d’entre eux n’exprimait clairement sa volonté de création d’une telle région dans les programmes électoraux sur lesquels ils ont été élus. A aucun moment la population n’a été associée ou consultée sur cette position.

    Le seul « débat » qui a été créé s’est résumé à une session extraordinaire du Conseil régional des Pays de la Loire où les personnes favorables à un découpage régional alternatif n’ont pas été invités. L’argent public et les moyens techniques et humains ont été utilisés par les élus de la région Pays de la Loire pour défendre un projet technocratique et contesté depuis maintenant 40 ans.

    bretagne,région,loire-atlantique,manifestation,44=bzh,bzh,réunification,référendum,nantes,noned,manifestatio,manifLe collectif 44=BREIZH considère que les habitants doivent être associés aux décisions qui seront prises sur leur avenir institutionnel sans quoi la coupure entre les élus et le peuple ne saurait que se renforcer au profit des populistes. Les élus ne doivent pas craindre l’expression démocratique du peuple et ne peuvent pas se cacher derrière des déclarations du type « les gens risquent de ne pas répondre aux questions qu’on leur pose ». Pour notre part, nous faisons confiance aux citoyens qui, si un débat démocratique et équitable leur est proposé, sauront choisir ce qui leur semble le plus pertinent. L’organisation d’un référendum local alors que le gouvernement impose une carte ubuesque serait l’occasion pour les habitants de s’exprimer et pour les élus de montrer qu’ils prennent en considération les volontés populaires. Chacun en ressortirait grandi.

    Aussi, ce rassemblement organisé par le collectif 44=BREIZH a pour but de demander une consultation populaire en Loire-Atlantique qui, dans le cadre de la réforme territoriale,  poserait la question de l’intégration du département de la Loire-Atlantique au sein de la Région Bretagne, en lien avec le projet d’une Assemblée regroupant région et départements. Nous serions prêts à travailler au sein d’un comité d’organisation avec des élus et des représentants de la société civile, favorables à la réunification mais aussi au Grand Ouest pour l’élaboration des questions et la tournure des réponses possibles.

    Le collectif 44=BREIZH demande un référendum qui soit d’abord posé sur le département de Loire-Atlantique. En effet, ce département a fait plusieurs fois des vœux sur la réunification, sa population se montre intéressée par la réunification dans les sondages et manifeste depuis 40 ans dans ce sens au cours de mobilisations populaires. C’est aussi de la préférence de ce département, qui est le territoire central de l’évolution de l’ouest de la France, que pourront échafauder les possibilités d’évolutions pour la Bretagne mais aussi pour les autres départements des Pays de la Loire, qui doivent avoir le choix. Il nous semble aussi légitime que ce soit là où une revendication s’exprime que la consultation soit effectuée.

    Le collectif 44=BREIZH organisera au cours de ce rassemblement une action médiatique et symbolique pour réclamer ce référendum. Nous prévoyons en effet de déverser devant le conseil général des cartes électorales et vous demandons d’apporter la votre pour dénoncer cette privation de démocratie dans laquelle nous nous trouvons et témoigner de notre volonté de décider de notre avenir institutionnel. 

    Tous et toutes à Nantes devant la préfecture (6 Quai Ceineray) le 28 juin à 14h00 !

  • Pacte budgétaire : le piège à cons...

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    Conférence - Raoul Marc Jennar - Conclusion MES, TSCG, de quoi s'agit-il ? - Avignon 24 septembre 12

    Conclusion autour de l'austérité et la réorientation de l'Europe, quoi faire ? La Coordination du Vaucluse contre le traité européen a organisé cette conférence de Raoul Marc Jennar, membre du conseil scientifique d’Attac, essayiste, sur le MES : Mécanisme européen de stabilité et le TSCG : Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance. Après les traités européens qui ont dépouillé les états de leur politique monétaire, le TSCG vient couronner le tout en les privant de leur politique budgétaire. S’agit-il d’un pas de plus vers le fédéralisme, comme nous le présentent les médias, ou de la mise en place d’un directoire au service du capital financier mondialisé, comme d’autres voix le prétendent ? Le MES est présenté comme un fonds de solidarité destiné à aider les pays de la zone euro en difficulté. Comment va-t-il fonctionner ? Peut-il atteindre son objectif de solidarité ? Pour pouvoir bénéficier du MES, les états auront dû ratifier le TSCG. François Hollande s’était engagé à renégocier ce traité, appelé aussi pacte budgétaire, il n’en est rien ! Les mesures d’austérité permanente et de liquidation des droits des travailleurs sont entièrement maintenues. Ce traité est une remise en cause de toute souveraineté nationale pour l’ensemble des pays de l’Union Européenne.


    Conférence - Raoul Marc Jennar - Conclusion MES... par Thierry-Le-Roy-84

  • Manifestation unitaire du 30 septembre, une étape contre les politiques d’austérité

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    Appel à mobilisation

    Avec plus de 80 000 personnes, défilant à l’appel de soixante-cinq organisations, associations, organisations syndicales et partis politiques, la manifestation du 30 septembre a montré que de larges secteurs de l’opinion sont opposés au Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSGC) de la zone euro.

    Alors que la récession s’installe et se généralise en Europe, ce traité, s’il était appliqué, aggraverait encore la situation actuelle en générant des politiques d’austérité accrues, un chômage galopant et une flexibilisation du travail encore plus poussée au nom de la compétitivité.

    Il représenterait un déni démocratique soumettant les politiques budgétaires à des normes strictes que les citoyen-es et leurs représentants n’auraient plus la possibilité de remettre en cause. Il entraînerait des coupes massives dans les dépenses publiques, obérant ainsi la possibilité de satisfaire les besoins sociaux et d’entamer la transition écologique, alors même que des propositions réalistes et applicables immédiatement existent pour faire tout autrement. Il érigerait le remboursement de la dette en priorité absolue alors même que la question de son illégitimité doit être posée à travers un audit citoyen.

    La balle est maintenant dans le camp du président de la République et des parlementaires, en particulier de ceux de la majorité. Vont-ils s’obstiner dans une voie sans issue ou prendre enfin conscience que ce traité ne doit pas être ratifié par la France ? Sa non-ratification aurait un écho considérable parmi les peuples d’Europe et serait un geste fort permettant d’amorcer un processus de refondation de l’Union européenne pour une Europe solidaire, démocratique et sociale.

    D’ores et déjà, nous appelons à des mobilisations dans toute la France les 6 et 7 octobre avant le vote pour interpeller les parlementaires et les mettre devant leurs responsabilités. Nous organiserons également un meeting européen qui aura lieu à Paris le 8 octobre (espace Reuilly) pour affirmer cette exigence d’une autre Europe et témoigner du destin commun des peuples d’Europe.

    Au-delà du combat engagé contre la ratification du TSCG, et sa traduction dans la loi organique, la manifestation du 30 septembre marque une étape dans la mobilisation contre les politiques d’austérité, en particulier celles induites par le projet de loi de finances 2013.

    Nous refusons que les citoyen-es ne soient pas entendus ni consultés alors même que leur avenir est en jeu. Nous refusons que l’avenir des populations soit sacrifié sur le dogme de l’équilibre budgétaire pour le plus grand profit des marchés financiers. Nous refusons que les peuples soient soumis à une purge sociale sans fin pour respecter des normes économiquement absurdes.

    C’est pourquoi nous nous engageons dans un processus de mobilisation de longue durée pour imposer en France et en Europe des politiques répondant à la satisfaction des besoins sociaux et aux impératifs écologiques.

    Le collectif 30 septembre

    Les organisations suivantes sont signataires de l’appel à mobilisation :

    Act-up Paris, Aitec-IPAM, AC !, ANECR, Attac, CADTM, Cedetim-IPAM, Convergence services publics, CFF (SPUCE CFDT), CGT-Cheminots, CGT Finances, CGT Educ'action, CGT Equipement-environnement, CGT Livres (Filpac), CGT Personnels des Organismes Sociaux, CGT-FSA, CGT UGFF, URIF CGT, CNDF/CADAC, Démocratie Réelle Maintenant ! Paris, DIDF, Collectif des Associations Citoyennes, Les Économistes Atterrés, Fédération Droit au Logement, Fondation Copernic, Front de gauche - Parti communiste français - Parti de gauche - Gauche unitaire - FASE - République et Socialisme - PCOF - Convergences et Alternative - Gauche anticapitaliste, Femmes Egalité, FSU-Île de France, EPA/FSU, SNAC-FSU, SNASUB-FSU,  SNESUP-FSU, SNETAP-FSU, SNUAS FP FSU, SNU Pôle Emploi FSU, SNUITAM FSU, SNUTEFI FSU, SNUCLIAS FSU, EE(Ecole Emancipée) FSU, Jeunes Communistes, Les Alternatifs, Les efFRONTé-e-s, Marche Mondiale des Femmes France, Mémoire des luttes, M'PEP, Marches Européennes, NPA, Osez le féminisme, Parti Fédéraliste Européen, Parti pour la décroissance, Réseau Éducation Populaire, Résistance Sociale, Solidaires Finances Publiques, Solidaires Douanes, Sud BPCE, Transform!, Union Syndicale de la Psychiatrie, Union syndicale Solidaires, UFAL, Utopia.

  • Contre la ratification du pacte budgétaire européen par nos parlementaires

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    Communiqué de presse du Collectif brestois pour un audit citoyen de la dette

    Un collectif contre le pacte budgétaire européen s'est mis en place à Brest comme dans de nombreuses villes dans le pays.

    Il appelle la population à s'informer et se mobiliser avant la ratification de ce nouveau traité qui instaure une véritable austérité perpétuelle. Samedi matin, à partir de 10 heures, sur les marchés de St Renan, de Kerinou et de St Martin, et dimanche matin sur le marché de St Louis, nous ferons signer une pétition adressée à Patricia Adam et Jean Luc Bleunven. Elle leur demande de refuser cette ratification. Ce pacte Merkel/Sarkozy, qui devait être renégocié par François Hollande, est resté intact avec sa « règle d'or », absurde, qui oblige les États à aller vers un déficit quasi nul. Or, selon une étude du FMI lui-même, ramener le déficit de la France à 3% du PIB en 2013, créera automatiquement 300 000 chômeurs de plus ! Nos parlementaires ne peuvent décider, pour nous, d'un avenir sous le signe de l'austérité perpétuelle.

    Nous appelons aussi à une

    réunion publique lundi 24 septembre à 20 heures

    à la Salle des Syndicats (rue de l'Harteloire)

    Ce nouveau traité sera présenté et débattu dans son contenu comme dans ses lourdes conséquences économiques et sociales sans parler de la régression démocratique qu'il organise. Nous appelons enfin à la manifestation nationale qui aura lieu dimanche 30 septembre à Paris contre ce pacte. Un déplacement en car sera organisé au départ de Brest.

     S'informer :

    - audit-citoyen.org

    - stop-austerite.org

  • Le nouveau Traité européen (TSCG) expliqué en quelques minutes