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En mars 2018 à Brest, suite à une formation sur la découverte d'outils d'animation de la démocratie locale, des brestois.e.s ont manifesté leur désir de créer un collectif de personnes afin de porter un projet de liste citoyenne en vue de se présenter à l'élection municipale et communautaire de mars 2020.
Ce projet de liste citoyenne est né d'une envie d'agir face aux pratiques verticales des élu.e.s et d’une citoyenneté réduite au droit de vote. Il s'adresse à celles et ceux qui sont prêt.e.s à cesser de faire semblant de vivre en démocratie.
La volonté des personnes à l'origine de cette initiative citoyenne est de construire une liste électorale non partisane et de rendre plus démocratique le fonctionnement de la mairie en proposant un programme entièrement construit avec l'ensemble des habitant.e.s volontaires, le tout grâce à des méthodes d’éducation populaire.
Les membres du collectif brestois pour une liste citoyenne envisagent de proposer une alternative crédible et réelle au système électif actuel accaparé par les partis politiques. Ils/elles aspirent à susciter un regain d'intérêt populaire pour la chose publique en permettant à chacun.e de s’investir dans la vie locale, d'apprendre à débattre, de prendre confiance en ses capacités. Ils/elles veulent donner aux brestois.e.s le pouvoir d'agir dans les quartiers, ainsi que les moyens d'interpeller la municipalité.
L'ambition est de s'inspirer de la démarche de la commune de Saillans (Drôme / 1200 habitants), l’une des premières en France à avoir élu une liste citoyenne lors des élections municipales de 2014. Ils/elles veulent mettre en place une gouvernance collégiale et participative réelle sur la ville de Brest, soit sur une échelle 100 fois supérieure à celle de Saillans !
Forum citoyen à Brest le mardi 15 janvier
Les personnes souhaitant découvrir et/ou contribuer à ce projet de liste citoyenne à Brest sont invitées à venir participer au Forum citoyen qui se déroulera le mardi 15 janvier de 18h au gymnase de l’école publique Guérin (1 place Guérin).
Charlotte Marchandise-Franquet interviendra lors de ce Forum citoyen.
Élue locale à Rennes depuis 2014, Charlotte Marchandise-Franquet est adjointe déléguée à la Santé à la ville de Rennes. Aux élections municipales elle figurait en tant que membre de la société civile sur la liste "Changez la Ville" (portée par EELV, le Front de Gauche, et des citoyens sans étiquette comme elle).
Charlotte Marchandise-Franquet a remporté le 31 décembre 2016 LaPrimaire.Org, les premières élections citoyennes en ligne en vu de désigner une candidature de la société civile pour la présidentielle de 2017. N'ayant obtenue que 135 parrainages d'élu.e.s sur les 500 signatures nécessaires, Charlotte Marchandise-Franquet n'a pas pu présenter sa candidature à ce scrutin national.
En mars 2018 à Brest, suite à une formation sur la découverte d'outils d'animation de la démocratie locale, des brestois.e.s ont manifesté leur désir de créer un collectif de personnes afin de porter un projet de liste citoyenne en vue de se présenter à l'élection municipale et communautaire de mars 2020.
Ce projet de liste citoyenne est né d'une envie d'agir face aux pratiques verticales des élu.e.s et d’une citoyenneté réduite au droit de vote. Il s'adresse à celles et ceux qui sont prêt.e.s à cesser de faire semblant de vivre en démocratie.
La volonté des personnes à l'origine de cette initiative citoyenne est de construire une liste électorale non partisane et de rendre plus démocratique le fonctionnement de la mairie en proposant un programme entièrement construit avec l'ensemble des habitant.e.s volontaires, le tout grâce à des méthodes d’éducation populaire.
Les membres du collectif brestois pour une liste citoyenne envisagent de proposer une alternative crédible et réelle au système électif actuel accaparé par les partis politiques. Ils/elles aspirent à susciter un regain d'intérêt populaire pour la chose publique en permettant à chacun.e de s’investir dans la vie locale, d'apprendre à débattre, de prendre confiance en ses capacités. Ils/elles veulent donner aux brestois.e.s le pouvoir d'agir dans les quartiers, ainsi que les moyens d'interpeller la municipalité.
L'ambition est de s'inspirer de la démarche de la commune de Saillans (Drôme / 1200 habitants), l’une des premières en France à avoir élu une liste citoyenne lors des élections municipales de 2014. Ils/elles veulent mettre en place une gouvernance collégiale et participative réelle sur la ville de Brest, soit sur une échelle 100 fois supérieure à celle de Saillans !
Forum citoyen à Brest le mardi 15 janvier
Les personnes souhaitant découvrir et/ou contribuer à ce projet de liste citoyenne à Brest sont invitées à venir participer au Forum citoyen qui se déroulera le mardi 15 janvier de 18h au gymnase de l’école publique Guérin (1 place Guérin).
Charlotte Marchandise-Franquet interviendra lors de ce Forum citoyen.
Élue locale à Rennes depuis 2014, Charlotte Marchandise-Franquet est adjointe déléguée à la Santé à la ville de Rennes. Aux élections municipales elle figurait en tant que membre de la société civile sur la liste "Changez la Ville" (portée par EELV, le Front de Gauche, et des citoyens sans étiquette comme elle).
Charlotte Marchandise-Franquet a remporté le 31 décembre 2016 LaPrimaire.Org, les premières élections citoyennes en ligne en vu de désigner une candidature de la société civile pour la présidentielle de 2017. N'ayant obtenue que 135 parrainages d'élu.e.s sur les 500 signatures nécessaires, Charlotte Marchandise-Franquet n'a pas pu présenter sa candidature à ce scrutin national.
Les Amis du Monde Diplomatique et l'association ATTAC avaient invité début février 2016 l'Atelier Citoyen à venir présenter le fruit de leur travail à la faculté Victor Ségalen de Brest.
Françoise Verchère, Julien Durand et Franco Fedele ont présenté la conférence.
"Maintien et optimisation de l’aéroport de Nantes-Atlantique : Une alternative crédible au projet d’aéroport du Grand Ouest à Notre-Dame-des-Landes".
Françoise Verchère a participé à l’Atelier Citoyen, co-président du Cédpa ( Collectif des élu-es doutant de la pertinence du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes). Ancienne maire de Bouguenais, commune où est situé, en grande partie l’aéroport Nantes-Atlantique et ancienne conseillère générale du 44, vice-présidente à l’environnement.
Julien Durand, ACIPA (Association citoyenne Intercommunale des populations concernées par le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes) Paysan à la retraite.
Franco Fedele, architecte et co-animateur de l'Atelier Citoyen.
Lancé en décembre 2014 et ouvert à tous, l’Atelier Citoyen travaille sur le réaménagement de l’aéroport de Nantes-Atlantique. Il a publié en 2015 un grand nombre de ses travaux sur les thèmes suivants : l’aérogare, la piste, la circulation et les trajectoires aériennes, l’économie et les emplois, la finance, le bruit, les transports en commun, l’urbanisme.
Les recherches de l’Atelier Citoyen ont permis de découvrir de nombreuses « vérités qui dérangent » car Nantes-Atlantique avait jusqu’à présent été très peu et très mal étudié.
Le travail de l’Atelier Citoyen n’est pas terminé, mais d’ores et déjà, son bilan est à la fois enthousiasmant et désespérant.
Bilan désespérant, car les recherches menées ont montré les nombreuses manipulations qui tentent de programmer l’obsolescence de cet aéroport. Alors que la France vient d’adopter une loi contre le « délit d’obsolescence programmée », la stratégie des porteurs du projet de Notre-Dame-des-Landes consiste visiblement à laisser l’aéroport existant se congestionner, devenir inadapté, pour imposer à des Nantais manipulés la pseudonécessité d’un nouvel équipement.
Bilan aussi enthousiasmant car les travaux débouchent sur de nombreuses solutions qui montrent que l’aéroport de Nantes-Atlantique peut être maintenu et amélioré !
Les sept cahiers et leurs fiches de synthèse des différents groupe de travail de l'Atelier Citoyen sont consultables sur internet :www.ateliercitoyen.org
Première publication : 19 février 2013 Mise à jour : 05 novembre 2014
Quand on se donne la peine d'y réfléchir un peu, on peut se demander l'intérêt d'avoir fait un tramway à Brest si c'est pour mettre demain en service un "promène-couillons" touristique aérien (chère, la danseuse communautaire !) entre le plateau des Capucins et le bas de la rue de Siam.
En terme d'aménagement urbain, un tel téléphérique du bas de Siam au plateau des Capucins amène en effet certains questionnements. Au regard de son emplacement, le plateau des Capucins apparaitrait dès lors ni plus ni moins comme une extension commerciale et culturelle de la rue de Siam avec une conséquence inévitable, l'affaiblissement en terme d'attractivité commerciale de la rue de la Porte. Conséquence paradoxale avec les propos récurrents de Jacques Quillien, maire du quartier de la Rive Droite il y a quelques années lors des débats concernant le trajet du tramway municipal. Ne répétait t-il pas en effet à loisir que la priorité était au « désenclavement du quartier de Recouvrance ». Jacques Quillien affichait ouvertement son inquiétude quand fut évoqué l'idée d'une passerelle reliant le boulevard Jean-Moulin au plateau des Capucins. « Si le tramway ne passe pas par le pont et la rue de la Porte, c'en est fini du bas de Recouvrance» expliquait t-il à un journaliste en 2011 ! Aujourd'hui le tramway passe par la rue de la Porte et l'intention communautaire serait de créer demain une liaison directe entre le bas de Siam et le plateau des Capucins via un téléphérique ! Questionnant non ? Cela serait alors autant de voyageurs en moins pour le tramway et une perte de clientèle potentielle non négligeable pour les commerçants de la rue de la Porte qui espéraient profiter du dynamisme du nouveau quartier des Capucins !
Les élu.e.s auront aussi à appréhender l'impact visuel d'un tel équipement sur le paysage urbain brestois. Là non plus ce n'est pas gagné vu l'emprise de l'installation d'un tel téléphérique au cœur même de Brest. Un pylône d'une soixantaine de mètres de haut en centre ville avec les câbles qui l'accompagnent, cela ne passera pas inaperçu ! Au vu de l'environnement du pont de Recouvrance, nos décideurs n'ont pas droit à l'erreur car ce qui devrait être au départ perçu comme un élément d'attractivité touristique (sic), pourrait au final se révéler comme une verrue visuelle difficile à ignorer et à cacher. La ville de Brest alors pionnière du mauvais goût de l'aménagement urbain ?
Ah d'accord, il y a les élections municipales . Cela avait failli m'échapper. Comme il faut certainement faire rêver les électeurs et électrices, et comme il faut aussi faire parler de Brest dans les médias, le projet de téléphérique trouverait là son utilité. Question de « rayonnement » (les élu.e.s locaux aiment « rayonner », c'est plus fort qu'eux), un « tramway aérien » (ils nous prennent vraiment pour des imbéciles), en terme « d'image », cela le ferait grave. Après, il y aura toujours le contexte économique et politique pour éventuellement revoir le dossier. La diminution importante des dotations de l'Etat déjà annoncée pour 2013 et 2014 s'invitant aujourd'hui dans le débat, la communauté urbaine brestoise devra certainement elle aussi abandonner ou reporter de nombreux investissements... dont potentiellement son téléphérique bresto-brestois. Cela serait alors ballot.
Le projet « Téléphérique » apparait bien vite comme le jouet que veulent s'offrir nos élu.e.s et comme un projet réalisé surtout au bénéfice des «bobos" et autre «bourgeois » de centre-ville. Selon le candidat aux municipales François Cuillandre, sa finalité serait "d'amener des investisseurs » sur le plateau des Capucins . (fin février 1014)
« la création d'une nouvelle liaison entre les deux rives de la Penfeld est indispensable aux Capucins. Les promoteurs sont les premiers à le dire : il faut un mode de franchissement de la rivière » martèle par ailleurs le maire sortant dans sa campagne électorale des municipales. (Source :Ouest-France du 27/02/2014). Voilà bien la confirmation que le projet de téléphérique s'avère être qu'un produit d'appel pour vendre de l'immobilier sur le Plateau des Capucins.
Les brestois ont de façon certaine déjà échappé à un projet d'aéroport intergalactique de l'extrême grand ouest en plein bois de Kéroual. C'est déjà cela de gagné.
Liaison Rive Gauche / Plateau des Capucins On notera que les personnes qui se rendront aux Capucins viendront de partout (de la rive-droite aussi !) et pas essentiellement du centre ville !
Bien évidement, nos élu-e-s ne proposeront pas aux brestois cette approche comparative. Faut pas rêver, on est à Brest...
Plusieurs options existent déjà pour rejoindre la rive gauche à partir des Capucins (et vice versa) :
- A pied, que cela soit à partir du pont de l'Harteloire ou du pont Recouvrance, on ne peut pas dire que la distance soit hors de portée d'un homo érectus en mode pédibus. Excellent pour la santé et cela ne coûte pas pas un gwenneg.
En terme de temps, de part et d'autre :
Au départ du pont de Recouvrance, c'est l'histoire d'une d'une bonne dizaine de minutes bien tassées, 12 minutes avec le feu rouge pour les piétons. On arrive à l'entrée même des Ateliers en arrivant par la rue de Pontanéou.
Au départ de la place de la Liberté via le pont de l'Harteloire, une vingtaine de minutes.
De la station de tramway "Les Capucins" aux Ateliers, c'est juste 7 minutes de marche (550 mètres).
A vélo, non encore chronométré.
En voiture, il ne faut pas trop m'en demander quand même. L'objectif étant d'éviter de se déplacer en voiture en ville. Quoiqu'il en soit, un parking de 700 places (sur 3 niveaux) sera construit sous le grand parvis. Ce parking sera payant.
- En bus, ligne 4, au départ de la place de la Liberté, si vous allez aux Capucins via le pont de l'Harteloire (arrêt "Quéliversan"), c'est seulement.... 6 minutes de trajet lorsque la circulation est fluide. A rajouter la jonction à pied ( 7 minutes) pour rejoindre les Ateliers, cela fait un trajet qui dure un petit quart d'heure. 1,40 euros le ticket (depuis le 1er juillet 2013).
A l'avenir, la création d'une ligne de bus 4 bis serait plus que pertinente. Ligne qui ferait la navette de la Place de la Liberté aux Capucins afin d'assurer, en alternance avec la ligne 4 actuelle, une fréquence de desserte toutes les 10 minutes vers l'arrêt "Quéliversan".
- En tramway,
pour se rendre directement de la place de la Liberté aux Ateliers des Capucins en tramway, cela prend 11 minutes. A rajouter 5 minutes de marche à pied pour rejoindre les Ateliers. Soit 16 minutes de transport ! Eventuellement bien sûr il faudra que vous rajoutiez le temps d'attente du tramway.
A partir de l'arrêt "Château" c'est à trois stations de l'arrêt "Capucins" (durée de trajet : 6 minutes). A rajouter les 5 minutes de la liaison pour rejoindre à pied les Ateliers des Capucins. Soit au total... 11 minutes de trajet ! (hors temps d'attente du tramway)
Pour aller de la station "Château" à la station rive gauche du téléphérique, ce serait une petite minute de marche à pied .
Alors en "promène-couillons" aérien, pour une durée de traversée prévue à 3 minutes, le plus long sera sans doute... d'acheter le ticket et de faire la queue pour accéder à l'engin (5 minutes de fréquence entre deux cabines) ! Beaucoup de monde, peu de places dans une cabine, cela bouchonnera sévèrement au portillon ! Cela commence à faire long le trajet ! Sinon, ce serait uniquement 12 liaisons par heure par sens de traversée.
Les Ateliers trop élognés de la station de tramway "Les Capucins" ? C'est l'un des arguments évoqués dans un argumentaire encarté dans la lettre socialiste "Cap Finistère" (28 février 2014 numéro 1038) pour convaincre les ouailles brestoises. Station de tramway "Capucins" qui serait à "plus de 500 mètres à pied" des Capucins ! Que dire quand on sait qu'à Paris, la Cité des Sciences et de l'Industrie est éloignée de la même distance à pied des stations de métro Corentin Cariou et Porte de la Vilette (7 minutes de marche !). On aura vite compris que ce qui fera l'attractivité des Ateliers des Capucins sera du fait des propositions culturelles et économiques qui y seront proposées et non sur l'obligation d'un accès impératif via un téléphérique. A rappeler que la création d'une ligne de bus 4 bis faisant la navette entre la place de la Liberté et Les Capucins pourrait être aussi créée.
Coût pour l'usager Pour le coût, cela serait 1,40 euros (depuis le 1er juillet 2013) pour se déplacer sur les 410 mètres qui séparent les deux rives de la Penfeld ! Cela fait de suite cher le tour de manège si vous n'êtes pas venu à la station "Château" ...en tramway. Dans ce cas là, ...autant rester dans le tramway pour vous rendre directement à la station bien nommée "Capucins" ! ;-)
Coût du machin Le coût annoncé de l'attraction touristique à François Cuillandre « à lui qu'il veut » : entre 15 et 20 millions d'euros(Montant désormais annoncé en octobre 2013 : 18 M d'euros HT). Comme on est à Brest, cela risque d'être plus près de 20 que de 15... avec à moyen terme une augmentation significative des titres de transport. Il faut bien que quelqu'un paye la boulimie médiatique des décideurs brestois... Le prix du "rayonnement" et de l'opportunité de dire pour nos élu.e.s qu'ils/elles sont "pionnier.e.s" (sic). Les brestoise.e.s ont déjà essuyé les plâtres avec leurs coûteuses machines à voter opaques et invérifiables d'Alain Masson !
2014, un budget à la baisse Selon l'info reprise par Les Echos (01/10/2014) le budget du machin avoisinnerait désormais les 15 M d'euros (subventions comprises). Hors Taxe ou T.T.C. ?
Subventions sollicitées 1.8M€ de l’Europe ??? 1.5M€ du conseil général 100 000€ de la région Etat : 3,8 millions d'euros sollicités (Ecotaxe)
Europe : aucun subventionnement n'est prévue pour 2013. Aucune garantie en ce qui concerne 2014 et 2015. « quelque espoirs de subventions via l’Europe », (sic) avait annoncé Alain Masson lors de la réunion de concertation du 25 septembre 2012.
Subvention de l'Etat remise en cause : L'avenir du téléphérique brestois est "suspendu" (sic) au sort de l'Ecotaxe. (Source : France-Info 03/03/2014) l'État publiera la liste des projets de transports en site propre qui seront aidés le 20 décembre 2014.
Espérance de subvention attendue par Alain Masson... 40 % !!! (Source : Sept jours à Brest)
Selon l'ADEUPa le coût de fonctionnement serait... "difficilement estimable" (sic) (prévision : 500 000 à 1 million d’euros / an)
Le bilan d’exploitation serait déficitaire de 75.000€ par an (Chiffres BMO/GART)
"L'agglomération brestoise souhaite un "funitel", une cabine soutenue par un double câble à la fois tracteur et porteur, qui offre moins d’emprise au vent. "Le problème du double câble, c’est la maintenance, très onéreuse", déplore Dominic Bosio, responsable commercial de la société italienne Leitner. "...En cas d’incident affectant l’un des "œufs", pas question de l’isoler, mais "il faut arrêter l’ensemble du système, car les cabines sont reliées par le même câble" "...Si les remontées mécaniques présentent des faibles coûts de maintenance, ceux-ci ne sont pas aussi avantageux en ville. Un téléphérique urbain circule en effet environ 7000 heures par an, contre 1500 en montagne."
Les Alternatifs de Bretagne , le NPA 44 et la Gauche Indépendantiste ( Breizhistance )
Les Alternatifs de Bretagne , le NPA 44 et la Gauche Indépendantiste ( Breizhistance ) défileront côte à côte samedi 28/06 dans les rues de Nantes à l’appel du collectif 44 = BZH.
Nous invitons nos adhérents et sympathisants à venir en nombre pour s’opposer à la réforme territoriale du gouvernement de Manuel Valls qui méprise visiblement l’avis des populations concernées.
Nous réaffirmerons que le peuple et les travailleurs de Bretagne ont le droit de librement choisir leur cadre institutionnel et droit à l'unité territoriale pour construire un autre modèle sociale, économique et environnemental.
C’est pourquoi nous soutenons pleinement les revendications des organisateurs en matière de référendum. Nous constituerons un cortège anticapitaliste affirmant le droit à l'autodétermination et à la démocratie autour d'une banderole unitaire "De Brest à Clisson c'est nous qui décidons ! Démocratie Autodétermination !"
Collectif 44=BZH
Tous et toutes à Nantes le 28 juin à 14h00 !
Le collectif 44=BREIZH organise un grand rassemblement le samedi 28 juin à Nantes pour réclamer le droit des habitants de Loire-Atlantique de décider du choix de leur région.Nous constatons que les citoyens n’ont pas le droit à la parole dans le débat sur la réforme territoriale.Depuis plusieurs semaines, les représentants de la Région Pays de la Loire et de la Ville de Nantes entreprennent un lobbying actif pour créer un Grand Ouest. Aucun d’entre eux n’exprimait clairement sa volonté de création d’une telle région dans les programmes électoraux sur lesquels ils ont été élus. A aucun moment la population n’a été associée ou consultée sur cette position.
Le seul « débat » qui a été créé s’est résumé à une session extraordinaire du Conseil régional des Pays de la Loire où les personnes favorables à un découpage régional alternatif n’ont pas été invités. L’argent public et les moyens techniques et humains ont été utilisés par les élus de la région Pays de la Loire pour défendre un projet technocratique et contesté depuis maintenant 40 ans.
Le collectif 44=BREIZH considère que les habitants doivent être associés aux décisions qui seront prises sur leur avenir institutionnel sans quoi la coupure entre les élus et le peuple ne saurait que se renforcer au profit des populistes. Les élus ne doivent pas craindre l’expression démocratique du peuple et ne peuvent pas se cacher derrière des déclarations du type « les gens risquent de ne pas répondre aux questions qu’on leur pose ». Pour notre part, nous faisons confiance aux citoyens qui, si un débat démocratique et équitable leur est proposé, sauront choisir ce qui leur semble le plus pertinent. L’organisation d’un référendum local alors que le gouvernement impose une carte ubuesque serait l’occasion pour les habitants de s’exprimer et pour les élus de montrer qu’ils prennent en considération les volontés populaires. Chacun en ressortirait grandi.
Aussi, ce rassemblement organisé par le collectif 44=BREIZH a pour but de demander une consultation populaire en Loire-Atlantique qui, dans le cadre de la réforme territoriale, poserait la question de l’intégration du département de la Loire-Atlantique au sein de la Région Bretagne, en lien avec le projet d’une Assemblée regroupant région et départements. Nous serions prêts à travailler au sein d’un comité d’organisation avec des élus et des représentants de la société civile, favorables à la réunification mais aussi au Grand Ouest pour l’élaboration des questions et la tournure des réponses possibles.
Le collectif 44=BREIZH demande un référendum qui soit d’abord posé sur le département de Loire-Atlantique. En effet, ce département a fait plusieurs fois des vœux sur la réunification, sa population se montre intéressée par la réunification dans les sondages et manifeste depuis 40 ans dans ce sens au cours de mobilisations populaires. C’est aussi de la préférence de ce département, qui est le territoire central de l’évolution de l’ouest de la France, que pourront échafauder les possibilités d’évolutions pour la Bretagne mais aussi pour les autres départements des Pays de la Loire, qui doivent avoir le choix. Il nous semble aussi légitime que ce soit là où une revendication s’exprime que la consultation soit effectuée.
Le collectif 44=BREIZH organisera au cours de ce rassemblement une action médiatique et symbolique pour réclamer ce référendum. Nous prévoyons en effet de déverser devant le conseil général des cartes électorales et vous demandons d’apporter la votre pour dénoncer cette privation de démocratie dans laquelle nous nous trouvons et témoigner de notre volonté de décider de notre avenir institutionnel.
Tous et toutes à Nantes devant la préfecture (6 Quai Ceineray) le 28 juin à 14h00 !