Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

violence

  • Appel du Collectif 29 contre les répressions policières - Bloquons NobelSport !

    Appel du Collectif 29 contre les répressions policières,
    contre la violence d’État, son in-justice,
    sa police et ses armes

     Bloquons NobelSport !
    - fabricant d'armement de répressions -

    Pont-de-Buis – Finistère (29)  MERCREDI 3 décembre

    Le 26 octobre dernier, Rémi Fraisse, étudiant de 21 ans est décédé sur le site de Sivens dans le Tarn lors de la manifestation qui a rassemblé plusieurs milliers d’opposants au barrage. Il a été tué par l’explosion d’une grenade offensive de la gendarmerie.

    collectif,29,finistère,répression policière,nobelsport,pont-de-buis,testet,sivens,nddl,gendarmerie,police,violence,grenade,lacrymogène,flash-ball,taser,ps,valls,czeneuveCe drame n’est pas un accident, il est le résultat de plusieurs mois de violences policières croissantes envers les opposant-e-s pour imposer un projet inutile dont la pertinence est aujourd’hui même remise en cause par un rapport d’experts : trop coûteux, pas adapté aux besoins réels, entraînant des dégradations et destructions environnementales sans réelle prise en compte des solutions alternatives possibles et existantes...

    Loin d'être une exception, la mort de Rémi Fraisse s'ajoute à la liste déjà longue des victimes de la répression policière. Malik Oussekine tué lors d'une manifestation en 1986, Wissam El Yamni tabassé à mort par des policiers le 9 janvier 2012, Amine Bentounsi tué d'une balle dans le dos à Noisy-Le-Sec, Abdelhak Goradia tué lors d'une reconduite à la frontière en août 2014,...

    La répression à laquelle ont dû faire face les opposant-e-s au barrage de Sivens n’est pas isolée. De nombreux manifestants sont gravement blessés et mutilés par les forces de l’ordre dans le cadre de luttes légitimes, des dizaines de syndicalistes sont poursuivis suite à des grèves.

    C’est par peur de voir se multiplier les résistances et les alternatives que le gouvernement crée un climat de violences et de criminalisation des mouvements sociaux et écologiques.

    Un jeune de 21 ans est mort, tué par la police, tandis que médias et gouvernement nous font croire que ce sont les manifestant-e-s qui sont violents.

    Cette violence répressive qui ne vise qu’à défendre la loi du profit ne doit pas reste sans réaction.

    Partout en France, exigeons :

    • l'arrêt immédiat de toutes les poursuites judiciaires à l'encontre des personnes ayant participé aux manifestations des dernières semaines, mais aussi aux manifestations de soutien aux ZAD de Notre Dame des Landes et de celle du Testet.

    •  l'amnistie pour toutes les personnes condamnées.

    • la libération des camarades emprisonnés, notamment Enguerrand, en grève de la faim et maintenu arbitrairement en détention par le procureur de Nantes.

    Partout en France, organisons-nous pour lutter contre toutes les violences policières, dans les villes, les quartiers, les facs, les ZAD !

    Partout en France, bloquons les usines qui fabriquent les armes qui blessent, mutilent et tuent. Ces usines sont complices et actrices de la violence d’État.

    A Pont-de-Buis dans le Finistère, l'usine NobelSport fabrique des grenades lacrymogènes et flash-balls qu'elle vend à l'armée et à la police...

     le mercredi 3 décembre, rendez-vous à Pont-de-Buis à partir de 10h devant l’espace François Mitterrand pour une manif et un blocage de l’usine NobelSport.

    Exigeons :

    •  l’interdiction des armes soi-disant non létales utilisées par le bras armé de l'Etat (grenades, flash-ball, Taser,...)
    •  le désarmement de la police
    •  la fin des violences policières et judiciaires

  • Terreur (d'État) au Testet

    Séquences de l'ambiance le 25 octobre 2014 au Testet (Tarn) avant la mort du militant écologiste Rémi Fraisse.

    Captation vidéo réalisée par le Groupe Groix.


  • ONE BILLION RISING: Protestez, Exiger La Fin De La Violence Contre Les Femmes!

    obrhdr-fr.jpg

    Vidéo de la campagne One Billion Rising
    (un milliard de femmes se lèveront le 14 février 2013).


    Il y a 7 milliards de personnes sur la planète. La moitié sont des femmes. Un tiers d'entre elles sont violées ou battues.

    V-Day refuse de voir plus d'un milliard de femmes subir des violences. V-Day va désormais plus loin, en disant ça suffit.

    Nous invitons UN MILLIARD de femmes et ceux qui les aiment à bouger, danser, protester et demander que cette violence s'arrête.

    Le 14 février 2013,  nous ferons bouger la planète, encourageant les femmes et les hommes à travers chaque pays à danser. La célébration de One Billion Rising sera un EVENEMENT MONDIAL.

    Avant notre 15ème anniversaire, rejoignez V-Day et One Billion Rising pour DIRE NON A LA VIOLENCE CONTRE LES FEMMES ET LES FILLETTES. Inscrivez-vous pour en savoir plus et rejoindre l'appel mondial.

    Une femme sur trois sera battue ou violée au cours de sa vie.
    Un milliard de femmes violées c'est une monstruosité.
    Un milliard de femmes qui dansent c'est une révolution.

  • Notre Dame des Landes : Lettre ouverte de 4 organisations d'opposants à Monsieur François Hollande au sujet de la commission du dialogue annoncée

    Acipa_Adeca_Conf_CeDpa_750pix.jpg

    ACIPA (Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d’Aéroport à Notre Dame des Landes)
    ADECA (Association de Défense des Exploitants Concernés par le projet d’Aéroport)
    CéDpa (Collectif d’élu-e-s Doutant de la pertinence de l’aéroport)
    Confédération Paysanne 44


     
    Monsieur François HOLLANDE
    Président de la République Française
    55, rue du Faubourg Saint-Honoré
    75008 PARIS 8e 


    Notre Dame des Landes, le 30 novembre 2012


    Monsieur le Président de la République,

    Comme vous le savez, nous venons de vivre à Notre Dame des Landes une longue, trop longue, période de tension et de violence ; aussi est-ce avec intérêt que nous avons pris acte des deux communiqués du gouvernement, publiés samedi 24 novembre dernier ; le premier signé de vos ministres de l’Agriculture, de l’Environnement et des Transports annonçait qu’il n’y aurait pas de défrichement sur le site de NDL avant au moins six mois et le second, émanant de votre Premier Ministre proposait  « dans un souci d’apaisement » la mise en place d’une commission du dialogue.

    Nous souhaitons par ce courrier vous préciser dans quelles conditions le dialogue peut vraiment s’instaurer.

    Vous comprendrez aisément que cela ne puisse se faire si la présence policière massive que nous connaissons depuis la mi-octobre perdure. La violence est née de l’opération « César », qui a détruit des maisons et mis à la rue de nombreuses personnes, elle s’arrêtera d’elle-même si les forces de l’ordre se retirent et si de nouvelles expulsions ou destructions  n’ont pas lieu ;  nous pensons aussi indispensable que vous décidiez le gel total de tous les  travaux de préparation du chantier, ou de poursuite des sondages et fouilles archéologiques qui ont un effet sur le sol alors même que  le dossier au titre de la Loi sur l’eau n’est pas satisfaisant comme le montrent les conclusions de la commission d’enquête qui demande une validation scientifique de la méthode de compensation.

    La mission qui sera confiée à cette commission du dialogue doit être évidemment une véritable mission de remise à plat du dossier afin que soient enfin examinés tous les arguments que nous avons avancés depuis des années mais qui n’ont jamais été analysés sérieusement. Il ne nous serait pas possible d’accepter qu’on nous réexplique simplement, comme si nous l’avions mal compris, un dossier que nous connaissons fort bien.

    Le choix de la personnalité qui assurera la présidence est bien sûr crucial et ne peut souffrir le moindre doute sur son indépendance et son objectivité. Et il en va de même pour les autres membres de cette commission.  Mais la méthode de travail est tout aussi importante. Nous voulons certes que tous les aspects du dossier, (juridiques, économiques, environnementaux) soient examinés, et que soient analysées les propositions alternatives que nous avons avancées, mais nous demandons de surcroît  la plus grande transparence des  travaux de manière à ce que l’opinion publique particulièrement sensibilisée depuis ces dernières semaines puisse continuer à suivre le débat. C’est dans un véritable souci de démocratie que, depuis des années,  nous avons organisé de nombreuses réunions afin que tous se saisissent des enjeux  réels du  projet, c’est dans ce même esprit que nous souhaitons que la commission de dialogue travaille avec nous.

    Nous tenons enfin, Monsieur le Président, à vous rassurer sur le calendrier. Nantes-Atlantique fonctionne très bien et il n’y a aucune urgence à vouloir hâter le pas comme le souhaitaient visiblement le concessionnaire et certains porteurs du projet. Il nous paraîtrait d’ailleurs normal que le projet de Notre Dame des Landes soit aussi réexaminé dans le cadre de la mise en place du nouveau Schéma National de Mobilité Durable.

    Forts des soutiens croissants qui nous parviennent de partout en France et de la détermination des militants présents localement, mais aussi persuadés de la légitimité de nos demandes, nous attendons sereinement votre réponse que nous espérons favorable. Nous restons bien évidemment à votre disposition pour un rendez-vous à l’Élysée, comme nous vous le demandons chaque semaine depuis le 29 août dernier.

    Dans cet espoir, nous vous assurons, Monsieur le Président, de toute notre considération,
                                                 

    Les coprésidents de l’ACIPA : Anne Marie Chabod,  Dominique Fresneau, Christian Grisollet
    Le président de  l’ADECA : Sylvain Fresneau
    Les présidents du CéDpa : Françoise Verchère, Jean Paul Naud, Isabelle Loirat
    Le président de la Confédération Paysanne 44 : Dominique Lebreton
  • Pour l'égalité femmes-hommes

    égalité,femme,home,parité,précarité,emploi,éducation,sexisme,inégalité,contraception,avortement,violence,prostitutionIl n'y aura pas de véritable démocratie, ici ou ailleurs, sans cette égalité.

    • Egalité politique, averc parité effective
    • Egalité sociale et professionnelle : contre la précarisation, le temps partiel imposé et les inégalités salariales,
    • Egalité dans la sphère privée :

    - pour une éducation libérée de se modèles sexistes, le partage entre hommes et femmes des tâches éducatives.

    - Le libre accès à la contraception et à l'avortement, contre la marchandisation des corps et les violences faites aux femmes.