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éducation populaire - Page 2

  • Quartiers Communs - Construire ensemble à contre-courant

    La CNT-Brest et le Collectif CASSS-paPIERs

    organisent

    du 12 au 15 mars 2014 à Brest

    Quartiers Communs
    Construire ensemble à contre courrant.

    brest quartiers communs,pontanézen,valy hir,cnt,casss'papiers,claj,éducation populaire,mib,pablo séban,identités nationalesQuartiers Communs c'est durant une semaine, des temps d'ateliers, des concerts, des projections, une conférence gesticulée organisée en partenariat avec l'association CLAJ...

     Quartiers Communs se veut un temps de rencontres, d'échanges et de débats pour construire ensemble nos utopies et trouver de nouveaux allié-e-s dans la lutte contre les systèmes de dominations...

     Autant d'objectifs qui ont motivés les différents initiateurs de Quartiers Communs à créer ces temps de réflexions et de fêtes à la veille des élections municipales, dans les structures de quartier du Valy-Hir et de Pontanézen.

    Sans aucune forme de prosélytisme, les organisateurs de Quartiers Communs souhaitent proposer des espaces de débat autour du vivre ensemble et des possibilités d'action commune, en opposition aux discours hargneux trop souvent entendus dans l'espace public.

    Quartiers Communs a pour but de valoriser l'autogestion et s'inscrit clairement contre le racisme et la ségrégation sociale.

    En savoir plus :

    -  Programme complet de Quartiers Communs

    - Site internet : quartierscommuns.wordpress.com

    - “ Mes identités nationales ” une conférence gesticulée de et par Pablo Seban.

    - Quartiers Communs : Deux projections-débat au programme

  • Le Clito, un petit nom qui en dit long

    A l'invitation du CLAJ (Club Loisir Action Jeunesse),

    l'association féministe Questions d'Egalité présentera une conférence gesticulé

    le samedi 28 septembre 2013 à 20h30  au Mac Orlan à Brest.

    Le clito, un petit nom qui en dit long.
    Plaisir et politique au pays de la sexualité féminine.

    2013_QE_Conf16_Gesticulee_Flyer_recto.gif


    Se raconter nos histoires communes mais singulières autour du sexe, du savoir et du pouvoir, du désir et de la servitude sexuelle, du non-dit, de la reconquête permanente de nos corps, c’est déjà poser un acte !

    Présenter cette conférence gesticulée, c’est partager et libérer cette parole trop souvent enfouie. Ce ne sera pas un nouveau spectacle-réalité, ni la parodie d’un rendez-vous chez le sexologue, ce ne sera pas non plus la promotion de nouvelles pratiques immanquables.

    Ce soir là, 7 femmes, 7 histoires différentes, 7 points de vue différents forcément, 7 envies de vivre leurs corps pleinement, intensément.

    Durée : 2 heures

    Entrée Prix libre. Prix indicatif entre 4 et 10 euros selon les revenus.

    Réservations conseillées : clito2013@yahoo.fr

    Qu'est ce qu'une conférence gesticulée ?

     Une conférence gesticulée c’est un outil d’éducation populaire à mi-chemin entre le spectacle et la conférence, qui mêle de l’autobiographie, de l’analyse, et de la théorie. Mélange de choses vécues, de choses comprises et de choses apprises.

    Questions d’égalité est une association féministe. Son champ d’action se situe dans la promotion d’une réelle égalité entre les femmes et les hommes.

  • Laurent Bonelli: « Le traitement médiatique de l'insécurité »

    Le 24 mai 2012,  Laurent Bonelli était l'invité  des « Jeudi d'Acrimed ».
    Laurent Bonelli est maître de conférences en science politique à l'Université de Paris Ouest Nanterre-La Défense.

    Une présentation toujours pleine d'actualité.

    Laurent Bonelli est notamment l'auteur de La France a peur. Une histoire sociale de l' « insécurité »

    >> Introduction au débat <<

    Première partie - L'intervention de Laurent Bonelli

    Deuxième partie - Le débat

    A lire :

    Les médias et l’« insécurité » : les magazines télévisés (extraits de La France a peur)

  • Pacte budgétaire : les 10 raisons de dire non pour rouvrir le débat européen

    Reprise de la communication d'ATTAC France  :

    pacte-budgetaire.jpgEn rejetant le Pacte budgétaire, députés et sénateurs peuvent refuser l’austérité perpétuelle et relancer le débat en Europe

    « Le poids de la dette est devenu écrasant. L’État verse ainsi près de 50 milliards d’euros par an à ses créanciers. Cette somme représente la première dépense, juste devant le budget de l’Éducation nationale; elle est supérieure aux budgets de la recherche, de la justice et de la sécurité réunis. C’est inacceptable ! La dette, c’est moins d’écoles, moins de crèches, moins d’hôpitaux, moins de transports publics...»

    C’est Jean-Marc Ayrault qui parlait ainsi de la dette publique dans son discours de politique générale en juillet dernier.

    Mais pour remédier à cette situation, il reprend l’objectif affiché par François Hollande, une réduction à marche forcée du déficit public, visant 3% du PIB dès 2013 et le déficit « zéro » en 2017.

    Ce n’est pas un hasard : le déficit « zéro » est l’objectif n°1 du Pacte budgétaire, le nouveau traité négocié par Sarkozy et Merkel pour imposer définitivement l’austérité comme seule politique possible en Europe.

    François Hollande avait promis lors de sa campagne de rompre avec cette logique mortifère. Mais, à l’issue du sommet européen des 28 et 29 juin, le nouveau président français a finalement accepté de ratifier le Pacte.

    Selon lui, il aurait obtenu des mesures de croissance permettant de « réorienter l’Europe ».

    C’est faux : le Pacte budgétaire, inchangé, est toujours aussi nocif, et le pseudo-« Pacte de croissance » adopté le 29 juin n’est que poudre aux yeux. Au moment où l’Europe s’enfonce dans une inquiétante récession provoquée par les politiques d’austérité, ratifier le Pacte budgétaire signifie accélérer la course à la catastrophe.

    A lire sur le site d'ATTAC France ou consulter le document au format .PDF :
    "Les 10 raisons de dire non pour rouvrir le débat européen"