
conférence/débat le jeudi 1er avril à 20h00
à l'Espace Vauban à Brest
conférence/débat le jeudi 29 avril à 20h00
à la Salle des syndicats à Brest
à l'Espace Vauban à Brest
conférence/débat le jeudi 29 avril à 20h00
à la Salle des syndicats à Brest
L'eau est privatisée à Brest/BMO depuis 1987. Un contrat de 25 ans, signé par M. Lombard (CUB), avec la CEO, offrait un tour de passe passe budgétaire. A l'époque la gauche s'était opposée à ce renoncement au service public de l'eau. Depuis la CEO est passée sous le contrôle de Véolia. En 2012, le contrat arrive enfin à échéance. D'ici la fin de l'année, les élu-e-s de BMO vont choisir le mode de gestion pour l'avenir. Autant dire demain !
Afin d'afficher sa préférence pour une gestion publique de l'eau à Brest/BMO, il est urgent de se mobiliser et de le faire savoir.
Le Collectif "eau publique Brest/BMO" a déjà lancer une pétition disponible sur internet.
Dans le cadre de cette mobilisation, le Collectif "eau publique Brest/BMO" propose deux rendez-vous :
- Jeudi 1er avril : Conférence/débat "Pourquoi une gestion publique de l’eau ?" - à 20h00, Espace Vauban – 17 avenue Clemenceau – Brest
Avec Danielle Mitterand (l'enjeu international de l'eau), et Jean-Luc Touly (mode de gestion de l'eau et corruption),
- Jeudi 29 avril : Conférence-débat " Reprise en gestion publique, c’est possible !" - à 20h00, Salle des syndicats – face au lycée de l'Harteloire – Brest
avec Daniel Bosquet et Anne Le Strat : témoignages du retour en régie à Paris et Cherbourg
A lire :
- Tract annonçant les conférences/débats du mois d'avril 2010
- Site internet du Collectif "eau publique Brest/BMO"
- La position "idéologique" du Parti Socialiste brestois en 1987
Afin d'afficher sa préférence pour une gestion publique de l'eau à Brest/BMO, il est urgent de se mobiliser et de le faire savoir.
Le Collectif "eau publique Brest/BMO" a déjà lancer une pétition disponible sur internet.
Dans le cadre de cette mobilisation, le Collectif "eau publique Brest/BMO" propose deux rendez-vous :
- Jeudi 1er avril : Conférence/débat "Pourquoi une gestion publique de l’eau ?" - à 20h00, Espace Vauban – 17 avenue Clemenceau – Brest
Avec Danielle Mitterand (l'enjeu international de l'eau), et Jean-Luc Touly (mode de gestion de l'eau et corruption),
- Jeudi 29 avril : Conférence-débat " Reprise en gestion publique, c’est possible !" - à 20h00, Salle des syndicats – face au lycée de l'Harteloire – Brest
avec Daniel Bosquet et Anne Le Strat : témoignages du retour en régie à Paris et Cherbourg
A lire :
- Tract annonçant les conférences/débats du mois d'avril 2010
- Site internet du Collectif "eau publique Brest/BMO"
- La position "idéologique" du Parti Socialiste brestois en 1987
Confidence pour confidence, cette note est spécialement dédicacée à Alain Masson, le “Monsieur vote électronique” français. Pas moins. En effet, sans son obsession à vouloir à tout prix (vu ce que cela a coûté aux contribuables brestois, le mot "prix" prend toute sa saveur !) s’afficher médiatiquement dans l’air du temps, peut-être aurions nous échappé en France au scandaleux dossier du vote électronique. La relecture de la presse locale de février 2004 nous en en donne l’information. Dans sa campagne de propagande pour vanter le côté "progressiste" du choix de la Ville de Brest (comprendre son choix personnel), Alain Masson déclara sans retenue au journaliste du Télégramme : “N’ayont pas peur de le dire, en multipliant les groupes de travail et les réunions auprès du ministère, nous avons fait du lobbying, comme l’on dit maintenant”. Notre lobbyiste local n’hésitant à rappeler que les membres du service élections de la Ville de Brest avaient été ainsi se “convaincre sur le terrain là où cette façon de voter est rentrée dans les mœurs.”. La liste des pays audités étant apportée aux lecteurs du Télégramme : Angleterre, Espagne, Allemagne et “surtout”, précisait le journaliste, les Pays-Bas, “pays pionnier en la matière”.
Lorsque de nos jours on voit toujours affiché sur les murs de sa ville des publicités pour des concerts ou des boîtes de nuit mettant en avant un accès gratuit exclusif pour les personnes du genre féminin, on se dit qu’il y a encore beaucoup de travail à abattre afin de faire stopper ce type de discrimination et mettre de l’égalité de traitement là où elle peine à s’affirmer. Où on constate à regret que le rôle de la femme persiste à se résumer pour certains esprits phallocrates à n’être qu’un produit d’appel douteux pour attirer une clientèle masculine libidineuse censée avoir le monopole d’une certaine capacité financière pour consommer. Les clichés ont la vie dure. Ce type de discrimination basée sur le genre des individus s’avère pourtant juridiquement répréhensible et pourrait être sanctionné jusqu'à cinq ans d'emprisonnement à 47 000 euros d'amende (article 225-2 du code pénal) ! A croire que le risque de telles sanctions ne participe toujours pas à faire changer les pratiques. Dans ce combat pour faire évoluer les mentalités, les collectivités territoriales qui mettent régulièrement des locaux à disposition d’organisateurs de spectacles ont sûrement à leur niveau une carte à jouer. Dans l’optique d’une démarche pédagogique, une information pour prévenir tout risque de discrimination tarifaire basée sur le genre des personnes pourrait être inscrite dans les conventions contractuelles de mise à disposition des salles. Cela ne résoudrait certes pas globalement ce type de discrimination de genre mais au moins on ne pourrait pas reprocher aux élu-e-s locaux de ne pas être attentifs à cette inégalité.