Clip de campagne de gauche alternative 2012
Clip de camapgne du NPA
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Clip de campagne de gauche alternative 2012
Clip de camapgne du NPA
Communiqué de presse des Alternatifs
7 juin 2012
Promesse de campagne du candidat Hollande, le droit à la retraite à 60 ans va être restauré pour les salarié-e-s ayant commencé à travailler avant 20 ans et ayant tous leurs trimestres cotisés (41 ans immédiatement et 41,5 ans prochainement). Reste maintenant à abroger la contre-réforme des retraites de Nicolas Sarkozy qui a reporté l'âge légal de la retraite à 62 ans et de la retraite à taux plein à 67 ans.
Cette réforme avait été imposée contre l'avis et la mobilisation de millions des salarié-e-s pour permettre l'équilibre des régimes de retraites. Cet équilibre aurait aussi pu être obtenu par une hausse des cotisations, en particulier patronales, et par de nouvelles recettes sur les transactions financières, option qui avait alors été écartée d'office. Ce sont donc les salarié-e-s et uniquement les salarié-e-s qui ont fait les frais de cette contre-réforme.
Soyons clairs : la retouche de la contre-réforme Sarkozy n'est que justice. Mais, à ce stade, il ne s'agit que d'un aménagement positif mais à la marge. De plus cet aménagement va être financé par une augmentation des cotisations sociales salariales et patronales de 0,1% puis de 0,25%. Dit autrement, les salarié-e-s verront leur salaire net baisser de 0,1% puis 0,25%. Et cette baisse risque d'être encore aggravée par une hausse des cotisations salariales portant sur les régimes complémentaires Agirc-Arrco.
Après avoir fait intégralement les frais de la contre-réforme Sarkozy, les salarié-e-s ne doivent pas payer un centime d'une mesure qui ne fait que rééquilibrer dans le sens de la justice. Ce rééquilibrage doit être intégralement payé par le patronat par une hausse des cotisations patronales de 0,2% dès 2013 qui évolueront vers 0,5% en 2017. C'est maintenant au tour du patronat de payer sa part de la contre-réforme de Sarkozy !
Réponse des candidatEs
Alternatifs/NPA Chris Perrot (Brest-Rural) et Sylvie Gourmelen (Brest-Ville)
au questionnaire du Collectif brestois Ecole publique en danger
Scolarisation des enfants, temps scolaire et dispositifs de lutte contre l'échec scolaire
Nous avons, sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy combattu dans un large front syndical, associatif et politique, les mesures de casse de l’école publique prises par les gouvernements Fillon et les 2 ministres de l’Education nationale, Xavier Darcos et Luc Chatel. Les 70 000 suppressions de postes décidées depuis 2007 ont mis à mal l’Ecole et l’ont affaiblie en augmentant les inégalités scolaires comme le montrent les multiples rapports européens. Les postes supprimés doivent être restitués. Et pour cela, la 1ère urgence pour les élèves et les personnels est donc d’effectuer une autre rentrée que celle qui a été prévue par Luc Chatel. Une loi de finance modificative doit être votée au début de l’été. Les postes ouverts aux concours 2012 doivent tous être pourvus, y compris les listes complémentaires. Un vaste plan de titularisation des personnels précaires doit être mis en route dès septembre.
Cette politique de réduction drastique des moyens a eu des conséquences importantes pour la scolarité des enfants de 2 ans qui est passée d’environ 35% au début des années 2000 à 13% à la rentrée 2011. Or l’on sait que les effets d’une scolarisation précoce sont incontestables et que les apprentissages dans la petite enfance jouent un le rôle fondamental, notamment en terme de maîtrise du langage oral et écrit. Il faut faire preuve, selon nous d’un volontarisme politique et inverser le plus rapidement possible la tendance. C’est pourquoi nous sommes favorables à la reprise de la scolarisation possible des enfants de 2 ans dès la rentrée de septembre 2012.
La lutte contre l’échec scolaire ignorée lors du précédent quinquennat doit être pour nous une priorité absolue. Depuis leur création en 1990, les réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté (RASED) animés par des personnels spécialisés de l’Education Nationale (maîtres E, maîtres G, psychologues) ont fait leur preuve en termes de pertinence et d’efficacité. Nous refusons la disparition de ces personnels qui pénalisent plus de 250000 élèves sous couvert d’économie budgétaire. Nous sommes au contraire favorables au renforcement de ce dispositif.
Sur les rythmes scolaires :
Il est un fait que les rythmes scolaires sont très déséquilibrés et entraînent une grande fatigue des enfants. La France est le pays européen qui compte le moins de jours travaillés pour les élèves mais les journées les plus chargées. Une transformation des rythmes scolaires est donc indispensable. Elle doit concerner les différentes échelles de temps (Journée, semaine, rythme de semaines travaillées et « petites vacances », année) Elle ne peut se poser qu’en concertation avec l’ensemble des acteurs/actrices (parents, personnels, collectivités territoriales prenant en charge la question des transports scolaires et des activités périscolaires qui doivent demeurer gratuites pour les familles) et prenant en compte l’ensemble des rythmes, celui des enfants en 1er lieu. Cependant la question des rythmes scolaires est inséparable de la question des programmes et des contenus d’enseignement ainsi que des méthodes pédagogiques utilisées. Et c’est bien l’ensemble des questions qui doivent être abordées simultanément par exemple à travers un débat citoyen.
Dans ce cadre, nous sommes favorables à un rythme unique 7 semaines de travail/ 2 semaines de congés et donc à la suppression des zones et à une semaine de 5 jours avec un nombre limité d’heures de classe par jour augmenté peu à peu selon l’âge des enfants et qui, en tout état de cause, ne devra pas excéder 5 heures/ jour dans les dernières classes de primaire.
Formation des enseignants et encadrement à l'école
Nous sommes favorables à une grande loi d’orientation et de programmation pluri-annuelle incluant bien entendu les recrutements de personnels nécessaires et permettant de rattraper le retard dont est responsable le quinquennat de Sarkozy afin de donner aux élèves et aux personnels de l’Education Nationale les meilleures conditions matérielles d’apprentissage et de travail.
Permettre aux personnels d’exercer leur métier dans des conditions les meilleures passe par des moyens accrus alloués à leur formation continue mais aussi par une réforme de leur formation initiale. Nous sommes favorables au rétablissement d’ une véritable formation professionnelle digne de ce nom : une fois le concours obtenu, les personnels stagiaires doivent pouvoir disposer d’une formation payée, d’une durée de 2 ans, à la fois théorique et pratique dans des lieux spécifiques préparant aux métiers des personnels de l’Education Nationale ( type IUFM) et incluant des larges moments d’observation et de prise en charge ponctuelle de classe en étant accompagnés par des tuteurs /tutrices expérimenté-e-s . Leur 1er service en responsabilité personnelle doit être substantiellement réduit n’excédant pas au maximum un mi-temps. L’enjeu de la formation initiale et continue des personnels du service public d’éducation est pour nous capital car il s’agit de leur permettre de mettre en place une réelle démocratisation scolaire.
Les associations de parents d’élèves ne sont pas encore véritablement associées à la vie des écoles. Elles doivent pouvoir enfin disposer de locaux dans les établissements scolaires leur permettant notamment d’exercer leur droit à l’information et à la communication des familles et les parents d’élèves doivent enfin pouvoir disposer d’un véritable statut leur permettant d’exercer réellement leur mandat. Il nous semble enfin possible et souhaitable de définir les droits des parents en matière de participation dans les projets éducatifs de l’école et de les associer au sein de chaque école aux discussions sur l’application concrète des réformes pédagogiques, la mise en œuvre de celles-ci étant assurée par les équipes pédagogiques et éducatives .
Pour nous l’urgence est de donner dès la rentrée 2012 aux élèves, de meilleures conditions d’accueil et d’apprentissage, ce qui implique une baisse des effectifs d’élèves dans des classes souvent surchargées et une augmentation du nombre de postes des personnels.
Et nous souhaitons également la mise en place d’une autre politique éducative, qui réponde aux défis sociaux, écologiques et démocratiques de notre époque et aux aspirations de la jeunesse, des familles et de l’immense majorité de la population de notre pays.
Compte tenu de l’ampleur des chantiers qui sont devant nous, nous somme favorables à la tenue d’un vaste débat citoyen sur la question de la politique éducative à mener. Sur ce point précis, nous attendons donc du gouvernement, non pas qu’il se précipite dans la voie d’une loi d’orientation durant l’été mais qu’il prenne le temps, en lien avec l’ensemble des acteurs de l’Education Nationale - dont font partie les associations de parents d’élèves et les organisations syndicales des personnels - de bien poser les enjeux du débat. L’enjeu essentiel est pour nous, nous le répétons, la priorité absolue à accorder à la lutte contre l’échec scolaire. Cela suppose que la question des contenus, des méthodes d’enseignement, des évaluations soient publiquement posées et débattues par les citoyens.
Dans ce débat que nous appelons de nos vœux, nous défendrons le principe d’une école unique de qualité, de 2 à 18 ans, émancipatrice et autogestionnaire, dispensatrice d’une culture commune par des équipes pédagogiques et éducatives disposant d’un réel pouvoir au sein des écoles. Nous souhaitons que les personnels puissent en effet disposer de temps de concertation intégré à leur actuel temps de service afin de pouvoir élaborer de véritables projets pédagogiques collectifs permettant de faire reculer l’échec scolaire.Nous nous prononçons également pour un autre statut de l’élève dans le cadre du fonctionnement pédagogique (temps de parole, évaluation) qui doit devenir acteur essentiel de son apprentissage et obtenir des droits démocratiques réels, rapidement dans le 1e degré, immédiatement dans le 2nd degré. Enfin nous soutenons les expériences portées par les établissements scolaires, les équipes pédagogiques qui entreprennent d’aider les enfants à construire leur savoir à travers leurs activités, à développer la coopération redonnant à toutes et tous le désir d’apprendre.
l’Etat, les collectivités territoriales, la laïcité à l’Ecole
Nous sommes favorables à une prise en charge par les collectivités locales et notamment par le département et la région du transport scolaire. De même les collectivités locales doivent soutenir matériellement et financièrement les projets d’école ainsi que l’organisation des activités périscolaires.
Il n’est pas admissible que des enfants et leurs familles soient privés d’école publique en raison de leur lieu de résidence. L’Etat a l’obligation d’assurer le service public partout en lui donnant les moyens de fonctionner et les communes doivent respecter l’obligation d’implantation d’écoles publiques. Les fonds publics doivent aller au service public et nous sommes favorables à un processus d’unification de tous les établissements scolaires au sein d’un grand service public d’éducation laïc et autogéré.
Développement de bilinguismes
Le bilinguisme ou le plurilinguisme précoce ouvre de larges portes linguistiques et culturelles. Il doit être développé de la maternelle à l'Université, mais non imposé.
Médecine scolaire
La médecine scolaire est un investissement pour toute la société. Une visite annuelle, permettrait de détecter chez l'enfant les handicaps, plus au moins importants de chaque enfant (vue, ouie, état général de santé,...) et aider les parents à suivre les enfants et à y remédier dans la mesure du possible . Par ailleurs, la médecine scolaire, dans un rôle pédagogique, permet à la communauté éducative, de mieux comprendre, et par là de mieux accepter les enfants en situation de handicap présents dans les classes. Le Code de l'Education mentionne qu'une "visite médicale est obligatoire pour tous les élèves de grande section". A contrario, on est malheureusement sur le constat que la médecine scolaire est actuellement réduite à peau de chagrin, voir à l'abandon, car pas « rentable financièrement » ! Nous ne pouvons l'accepter.
Cette visite médicale, en tant que telle, doit être effectuée par un médecin et personne d’autre. Les enseignants ne sont pas des professionnels de santé, et n’ont pas à assumer des tâches indues pour compenser l’insuffisance des moyens alloués à la médecine scolaire. Le recrutement de médecins scolaires supplémentaires s'avère une priorité.
La santé des enseignantEs aussi en question
Il serait temps que les enseignants bénéficient, comme tous travailleurs, d'une médecine du travail, qui pourrait être composée des mêmes personnels, puisque, présents et travaillant dans le même milieu ! A l'heure d'aujourd'hui, les enseignants n'ont qu'une visite médicale lors de leur entrée dans l'Education Nationale puis plus rien, sauf à se soigner comme tout un chacun …. Cette médecine de terrain pourrait prévenir les maux inhérents à cette profession.
S'informer, se mobiliser :
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Réponse des candidatEs Alternatifs/NPA Chris Perrot (Brest-Rural) et Sylvie Gourmelen (Brest-Ville) au questionnaire du Collectif brestois pour un audit citoyen de la dette publique
Partout en Europe, le thème de la dette publique est utilisé pour imposer l’austérité et mettre à mal les droits sociaux.
Au niveau national comme au niveau local, il est essentiel de savoir d’où vient cette dette et comment elle s’est constituée. Le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique du pays de Brest a invité les candidats aux législatives à prendre position sur les trois thèmes suivants : la légitimité de la dette publique française, l'aide aux collectivités locales touchées par les prêts « toxiques » et le Pacte budgétaire.
Au niveau européen, le « Pacte budgétaire », signé par les chefs d'État et de gouvernement début mars 2012, organise l’austérité permanente et doit être ratifié par la France avant la fin de l'année. Pensez-vous que la totalité de la dette publique française est légitime, ou bien qu'elle a été souscrite au moins en partie pour des choix illégitimes comme la baisse des recettes fiscales en provenance des ménages aisés et des grandes entreprises, ou à cause d'obligations illégitimes comme celle faite aux Etats d'emprunter auprès des banques privées ?
Pour faire la part des choses entre la dette légitime, celle qui permet d'engager des investissements, et la la dette illégitime, c'est à dire la dette contractée sans profiter aux populations locales et avec la collaboration des banquiers, un audit de la dette s'impose.
Lorsqu'on met en perspective le déficit de 2011 de l'Etat français (92 milliards d'euros), auquel il faut rajouter le déficit de la Sécurité Sociale (18 milliards d'euros) , avec le montant des recettes perdues (158 milliards d'euros), on constate que le déficit de l'Etat est d'abord dû aux baisses d'impôts. La baisse des recettes de l'Etat (niches fiscales inutiles, baisse de l'impôt sur le revenu, baisse de l'impôt sur la fortune, exonération patronale de cotisations sociales) auxquelles on peut rajouter les sommes perdues au titre de la fraude fiscale, contribuent au déficit de l'Etat et à l'aggravation de la dette. Recettes perdues qui profitent essentiellement aux plus riches au détriment du reste de la population !
Il faut remettre en cause les Traités européens interdisant à la banque Centrale Européenne de financer directement les États qui doivent trouver prêteurs sur les marchés financiers. Les États peuvent ainsi être soumis aux attaques spéculatives qui contribuent à l'aggravation de leur dette publique. En 2011 en France, la charge de la dette c'est à dire ses intérêts, est devenu le premier poste budgétaire ! C'est aberrant et scandaleux socialement. On comprend l'urgence de sortir la dette publique des mains des marchés financiers. On est en face d'un système qui marche sur la tête au détriment des peuples.
Etes-vous favorable à un audit complet de la dette publique française ? Si oui, pensez-vous que des élus et des organisations citoyennes doivent être membres de cette commission d'audit ?
Tout à fait. Il est impératif de mettre en œuvre un processus d'audit pluraliste de la dette publique, avec la participation d'élus, d'experts clairement indépendants et de citoyens, afin de déterminer si tout ou partie de cette dette est légitime … ou illégitime.
Plusieurs collectivités et organismes publics du Finistère sont touchés par le problème des prêts “toxiques” et la raréfaction actuelle du crédit, comment pensez-vous les aider à y faire face ?
C'est avec détermination que nous demanderont solennellement aux autorités de l’Etat de mettre en demeure les banques de transformer les prêts «toxiques» en prêts classiques, sans surcoût et sans allongement de durée en étant attentif que ces renégociations de prêts ne comportent pas des clauses abusives. Nous nous battrons pour que les banques supportent la totalité des surcoûts que leurs produits ont générés pour les emprunteurs. Nous interpelleront le Gouvernement pour que soit mis en place un véritable service public de financement des collectivités locales. Nous nous engageons à relayer et soutenir à l'Assemblée nationale les propositions élaborées au sein des Collectifs Audit Citoyen de la dette.
Une commission d'enquête de l'Assemblée nationale a proposé la création d'un « pôle d'assistance et de transaction » pour négocier au niveau national face aux banques au nom des acteurs publics locaux touchés. Etes-vous favorable à la création de ce pôle et à une présence des organisations citoyennes en son sein ?
La création d’une structure d’assistance pour les collectivités locales françaises peut s'avérer une bonne chose et pourrait répondre aux besoins des collectivités. Cette proposition de loi propose de renforcer l’encadrement des modalités de prêts des collectivités en interdisant les produits financiers les plus spéculatifs et les pratiques à risques excessifs, sans amputer les marges de manœuvre locales. La présence d'organisations citoyennes au sein d'un tel pôle irait dans le sens d'une meilleure transparence. Cela étant posé, il faut réfléchir à la manière dont pourraient être intégrées les organisations citoyennes au sein de ce type de regroupement.
Au delà, il s'agit bien de sortir la question des budgets des collectivités locales du seul débat entre experts et élus. Nous voulons associer les citoyens à l'élaboration même des budgets locaux en prônant le développement du budget participatif à l'instar de ce qui a été initié au Brésil par l'expérience de Porto Alegre.
Etes-vous favorable au Pacte budgétaire sous sa forme actuelle ? Proposez-vous de renégocier ce traité puisque les remèdes de la rigueur aggravent la crise et la situation sociale des pays qui l’appliquent ?
Nous sommes opposés au Pacte budgétaire. On doit le rejeter tant au niveau national qu'au niveau européen. Pour ce faire, amplifions les mobilisations pour imposer dans tout les pays un débat démocratique autour de l'enjeu de la dette publique, des alternatives à l'austérité et au Pacte budgétaire qu'on veut nous imposer. Pour une juste redistribution de la richesse , il est impératif de lutter contre les paradis fiscaux. Il faut interdire la spéculation sur les titres de la dette publique, sur les monnaies, sur les aliments... Il faut interdire aux agences de notation de noter un Etat . Par ailleurs, il faut transférer sous contrôle citoyen les banques au secteur public et socialiser les entreprises privatisées par les Gouvernements qui se sont succédés depuis 25 ans.
Etes-vous favorable à un référendum en France sur ce Traité, puisqu'il s'agit de l'avenir des peuples d'Europe, de leurs droits sociaux et de leur quotidien ?
Le peuple doit avoir le dernier mot. Il est grand temps de reprendre le contrôle de nos vies, de reprendre le pouvoir, aujourd'hui aux mains d'une technocratie sans légitimité. Plus prosaïquement, il faut abroger les traités européens actuels et les remplacer par des nouveaux, dans le cadre d’un véritable processus constituant démocratique .
Sinformer :
- Contact du Collectif brestois pour un audit de la dette publique: auditdettebrest@gmail.com