En matière à faire de la désinformation pour justifier l’utilisation des ordinateurs de vote opaques et invérifiables pour les électeurs, la ville de Brest ne manque pas de ressources. La dernière en date est l’évocation d’un rapport (sic) publié dernièrement par l’association Forum des Droits de l’Internet (FDI). A lire l’écho qu’en fait le responsable du service des élections de la ville de Brest (Le Télégramme de Brest - 28/12/2007), les villes auditionnées seraient satisfaites de la mise en place des machines à voter. Selon monsieur Moal, ce rapport ne préconiserait “qu’un meilleur encadremment du vote électronique sur le plan électoral”. Circulez y’aurait rien à dire ?
Outre le fait de s’interroger sur la légitimité du FDI pour évoquer un domaine qui se trouve hors du cadre défini par ses statuts, une lecture de ce document montre bien les limites des conclusions hâtives dont certaines collectivités s’empressent à utiliser à l’approche des scrutins de mars prochain. Comme le constate Pierre Muller, président d'Ordinateurs-de-Vote.org qui milite pour le retour à un vote papier : “ Ce rapport est presque exclusivement une remontée d'information de l'état d'esprit des municipalités utilisatrices d'ordinateurs de vote et de leurs problèmes pratiques d'organisation. C'est comme si on rédigeait un rapport sur l'avenir des OGM en questionnant les agriculteurs en ayant plantés.”. Pierre Muller ne manque pas de s’interroger si la fonction de ces travaux confiés au FDI ne seraient pas au final “de justifier un prochain nettoyage réglementaire et sécuritaire, par le ministère de l'intérieur et le Conseil d'État, des machines à voter afin de tenter de rassurer les mairies”. Interrogations fort légitimes lorqu’on sait que le rapport fort médiatisé du FDI ne s’était pas attardé sur les questions du contrôle citoyen et de sécurité, points pourtants fondamentaux lorqu’on souhaite apporter des modifications aux procédures de vote.
Focalisés sur la promotion de ce “rapport”, les élus auditionnés n’auront, semble t-il pas, porté leur attention mi-décembre sur la prise de position de l’ASTI, fédération des Associations Scientifiques Françaises des Sciences et Technologies de L’Information qui “appelle à ne pas recourir au vote électronique anonyme au nom du principe de précaution” et n’hésite pas à alerter les pouvoirs publics sur “l’impossibilité, en l’état actuel de la technologie, de réaliser un vote anonyme contrôlable directement par les électeurs et en conformité avec les disposition de la Constitution et du Code électoral”. Fermez le ban.
La Ville de Brest qui communique pour recruter des centaines de bénévoles pour l’organisation de la manifestation maritime de l’été prochain se retrouverait-elle fort dépourvue pour mobiliser aujourd’hui quelques dizaines de personnes supplémentaires nécessaires dans la configuration d’un retour de nos bonnes vieilles urnes transparentes permettant un contrôle citoyen du bon déroulement des scrutins électoraux ? L’on ose imaginer une telle impossibilité au regard des moyens techniques, humains et financiers mobilisés pour six jours de festivités sur les quais brestois en juillet 2008. Ironie mise à part, il est bon de rappeler à l’actuel maire de Brest qu’il n’a nulle obligation d’avoir l’aval de la Ministre de l’Intérieur pour mettre en place les conditions pour permettre à nouveau des élections contrôlables par les électeurs dans notre ville. Il lui suffit simplement d’en avoir la volonté politique.
Outre le fait de s’interroger sur la légitimité du FDI pour évoquer un domaine qui se trouve hors du cadre défini par ses statuts, une lecture de ce document montre bien les limites des conclusions hâtives dont certaines collectivités s’empressent à utiliser à l’approche des scrutins de mars prochain. Comme le constate Pierre Muller, président d'Ordinateurs-de-Vote.org qui milite pour le retour à un vote papier : “ Ce rapport est presque exclusivement une remontée d'information de l'état d'esprit des municipalités utilisatrices d'ordinateurs de vote et de leurs problèmes pratiques d'organisation. C'est comme si on rédigeait un rapport sur l'avenir des OGM en questionnant les agriculteurs en ayant plantés.”. Pierre Muller ne manque pas de s’interroger si la fonction de ces travaux confiés au FDI ne seraient pas au final “de justifier un prochain nettoyage réglementaire et sécuritaire, par le ministère de l'intérieur et le Conseil d'État, des machines à voter afin de tenter de rassurer les mairies”. Interrogations fort légitimes lorqu’on sait que le rapport fort médiatisé du FDI ne s’était pas attardé sur les questions du contrôle citoyen et de sécurité, points pourtants fondamentaux lorqu’on souhaite apporter des modifications aux procédures de vote.
Focalisés sur la promotion de ce “rapport”, les élus auditionnés n’auront, semble t-il pas, porté leur attention mi-décembre sur la prise de position de l’ASTI, fédération des Associations Scientifiques Françaises des Sciences et Technologies de L’Information qui “appelle à ne pas recourir au vote électronique anonyme au nom du principe de précaution” et n’hésite pas à alerter les pouvoirs publics sur “l’impossibilité, en l’état actuel de la technologie, de réaliser un vote anonyme contrôlable directement par les électeurs et en conformité avec les disposition de la Constitution et du Code électoral”. Fermez le ban.
La Ville de Brest qui communique pour recruter des centaines de bénévoles pour l’organisation de la manifestation maritime de l’été prochain se retrouverait-elle fort dépourvue pour mobiliser aujourd’hui quelques dizaines de personnes supplémentaires nécessaires dans la configuration d’un retour de nos bonnes vieilles urnes transparentes permettant un contrôle citoyen du bon déroulement des scrutins électoraux ? L’on ose imaginer une telle impossibilité au regard des moyens techniques, humains et financiers mobilisés pour six jours de festivités sur les quais brestois en juillet 2008. Ironie mise à part, il est bon de rappeler à l’actuel maire de Brest qu’il n’a nulle obligation d’avoir l’aval de la Ministre de l’Intérieur pour mettre en place les conditions pour permettre à nouveau des élections contrôlables par les électeurs dans notre ville. Il lui suffit simplement d’en avoir la volonté politique.
Actuellement signatures !
Pétition disponible sur le site internet Ordinateurs-de-vote.org
Citoyens et informaticiens pour un vote vérifié par l'électeur
-
-
-
-
Citoyens et informaticiens pour un vote vérifié par l'électeur
Municipales à Brest : cherchez la femme
Machos les groupes politiques brestois? Si la parité est désormais inscrite dans la loi, à Brest le choix d’une femme comme tête de liste pour les élections municipales ne fait pas légion. L’on a beau chercher parmi les têtes de liste des précédents scrutins municipaux brestois, l’on ne trouve que la représentation du genre masculin. Verra t-on enfin une tête de liste féminine aux municipales de 2008 à Brest? Peut être. Pour l’instant les premiers prétendants déclarés à la fonction municipale suprême sont des hommes. Reste aux quelques listes qui n’ont pas annoncé encore le nom de leur chef de file à apporter la surprise. Plus certainement, une tête de liste féminine devrait être proposée par la liste soutenue par la LCR. Dans un document de travail préparatoire au texte d’appel diffusé début septembre, certains initiateurs de la liste “La gauche debout” posaient comme postulat que la tête de liste soit “une jeune femme, si possible”. Postulat qui avait le défaut d’être disqualifiant d'office pour d'éventuels postulants masculins. Cette formulation maladroite fit débat pour au final ne plus figurer dans le texte d’appel validé par les membres de cette liste.
Si la présence d’une tête de liste féminine lors des prochaines élections municipales serait une véritable révolution à Brest, l’on peut tout de même espérer qu’un tel choix par une ou plusieurs listes ne se résumerait pas uniquement pour satisfaire les revendications de féministes impliquées dans cette élection ou simplement pour s’inscrire dans le cadre d’une stratégie médiatique. L’on peut souhaiter désormais que le choix d’un homme ou d’une femme comme tête de liste mette en avant la personne la plus compétente pour porter et défendre sur son nom un programme politique collectivement élaboré par ceux qui aspirent à gérer la ville. Désignation de la tête de liste devant répondre à un choix démocratique des membres de chaque liste lui garantissant une véritable légitimité.
Pour appronfondir votre réflexion :
Observatoire de la parité
Si la présence d’une tête de liste féminine lors des prochaines élections municipales serait une véritable révolution à Brest, l’on peut tout de même espérer qu’un tel choix par une ou plusieurs listes ne se résumerait pas uniquement pour satisfaire les revendications de féministes impliquées dans cette élection ou simplement pour s’inscrire dans le cadre d’une stratégie médiatique. L’on peut souhaiter désormais que le choix d’un homme ou d’une femme comme tête de liste mette en avant la personne la plus compétente pour porter et défendre sur son nom un programme politique collectivement élaboré par ceux qui aspirent à gérer la ville. Désignation de la tête de liste devant répondre à un choix démocratique des membres de chaque liste lui garantissant une véritable légitimité.
Pour appronfondir votre réflexion :
Observatoire de la parité
La mobilisation contre le vote électronique continue
Communication de l'association Ordinateurs-de-vote.org
"Signez et faites signez autour de vous la pétition contre le vote électronique, qui a déjà recueilli près de 100.000 signatures
Ce sont des avancées encourageantes mais insuffisantes : le maintien du vote papier n’est toujours par d’actualité !
Nous allons avoir besoin de votre aide : cet automne est le temps de la réaction des institutions. Des comités discrets vont se prononcer sur la poursuite du vote électronique, déjà pour les élections municipales, mais surtout au-delà. Informatiser les élections professionnelles va être de plus en plus d’actualité.
La plupart des candidats à la présidentielle se sont prononcés contre le vote électronique. Le Conseil Constitutionnel a reconnu que "l’intrusion des machines à voter (...) rend opaque ce qui était visible" et "prive le corps électoral de la surveillance collective des opérations dans lesquelles s’incarne le suffrage universel.".
Continuez de signer la pétition :
http://www.ordinateurs-de-vote.org/petition/
"Signez et faites signez autour de vous la pétition contre le vote électronique, qui a déjà recueilli près de 100.000 signatures
Ce sont des avancées encourageantes mais insuffisantes : le maintien du vote papier n’est toujours par d’actualité !
Nous allons avoir besoin de votre aide : cet automne est le temps de la réaction des institutions. Des comités discrets vont se prononcer sur la poursuite du vote électronique, déjà pour les élections municipales, mais surtout au-delà. Informatiser les élections professionnelles va être de plus en plus d’actualité.
La plupart des candidats à la présidentielle se sont prononcés contre le vote électronique. Le Conseil Constitutionnel a reconnu que "l’intrusion des machines à voter (...) rend opaque ce qui était visible" et "prive le corps électoral de la surveillance collective des opérations dans lesquelles s’incarne le suffrage universel.".
Continuez de signer la pétition :
http://www.ordinateurs-de-vote.org/petition/
Ordinateurs de vote NEDAP : France Election communique
Suite au Communiqué clientèle de la société France élection adressé aux villes françaises ayant fait l'acquisition d'ordinateurs de vote NEDAP - 09 octobre 2007.
La société France Election, distributeur des ordinateurs de vote NEDAP en France, informe donc sa clientèle institutionnelle française du choix du gouvernement néerlandais de retirer l'agrément des machines NEDAP. Au delà d'un exercice d'autosuggestion à vocation commerciale concernant une soi disante "fiabilité" des ordinateurs de vote NEDAP (sic), France Election rappelle tout de même que la commission néerlandaise chargée "...d'inspecter les procédures électorales et éventuellement de les modifier", a recommandé au gouvernement des Pays-Bas "...un changement fondamental des procédures relatives à la transparence et au contrôle du vote". Sous entendu que les ordinateurs de vote NEDAP utilisés aux Pays-Bas ne répondaient pas à ces exigences fondamentales dignes d'un pays démocratique. La chose est dite. Que le Ministère de l'Intérieur français prenne dorénavant acte lui aussi de retirer son agrément aux ordinateurs de vote NEDAP utilisés en France. A moins que le Ministère de l'Intérieur français veuille nous refaire le coup du nuage de Tchernobyl (qui s'était arrêté soit disant aux frontières de la France), il sera difficile à la France d'être bientôt le seul pays européen à autoriser dorénavant l'utilisation des machines NEDAP pourtant fort décriées en raison de leur opacité et de l'impossibilité de contrôle des scrutins par les électeurs.
La société France Election, distributeur des ordinateurs de vote NEDAP en France, informe donc sa clientèle institutionnelle française du choix du gouvernement néerlandais de retirer l'agrément des machines NEDAP. Au delà d'un exercice d'autosuggestion à vocation commerciale concernant une soi disante "fiabilité" des ordinateurs de vote NEDAP (sic), France Election rappelle tout de même que la commission néerlandaise chargée "...d'inspecter les procédures électorales et éventuellement de les modifier", a recommandé au gouvernement des Pays-Bas "...un changement fondamental des procédures relatives à la transparence et au contrôle du vote". Sous entendu que les ordinateurs de vote NEDAP utilisés aux Pays-Bas ne répondaient pas à ces exigences fondamentales dignes d'un pays démocratique. La chose est dite. Que le Ministère de l'Intérieur français prenne dorénavant acte lui aussi de retirer son agrément aux ordinateurs de vote NEDAP utilisés en France. A moins que le Ministère de l'Intérieur français veuille nous refaire le coup du nuage de Tchernobyl (qui s'était arrêté soit disant aux frontières de la France), il sera difficile à la France d'être bientôt le seul pays européen à autoriser dorénavant l'utilisation des machines NEDAP pourtant fort décriées en raison de leur opacité et de l'impossibilité de contrôle des scrutins par les électeurs.
Actuellement signatures !
Pétition disponible sur le site internet Ordinateurs-de-vote.org
Citoyens et informaticiens pour un vote vérifié par l'électeur
Citoyens et informaticiens pour un vote vérifié par l'électeur
Opération commerciale Carrefour : 100% des tickets sont gagnants
Du 03/10/2007 au 10/11/2007 l’enseigne Carrefour organise au niveau national une opération commerciale appelée “Les effets du mois”. Le mécanisme est a priori fort simple pour les consommateurs. A chaque fois qu’ils achétent un produit participant au jeu “Tick’effets”, ils recoivent lors de leur passage en caisse un certain nombre de tickets-jeu en fonctions des achats effectués. Ensuite il ne reste plus au client qu’à gratter uniquement trois casses sur les neuf présentes sur la grille du ticket-jeu. Si trois lots identiques s’affichent sur les trois cases découvertes, le client gagne en bons d’achat la valeur du lot qui est mentionnée sur le ticket. A ce stade, tout serait au mieux dans le meilleur des mondes de la surconsommation.
A lire avec attention la brochure commerciale diffusée actuellement dans les boîtes aux lettres, le consommateur averti aura remarqué que potentiellement tous les tickets-jeu peuvent prétendre à un gain ... et en plus “gratuitement et sans obligation d’achat”. Il suffit juste de gratter les bonnes cases. Pas évident me diriez-vous . Des petits malins ont découverts une faille dans le mécanisme du jeu de l’enseigne et gagnent au grattage à tous les coups et le font savoir sur internet. D’après l’information qui circule sur les forums de discussion - information confirmée par les hôtesse du Carrefour de Brest - il serait possible de pouvoir lire dans le noir et à l’aide d’une lumière laser et ainsi “deviner” quelles sont les trois bonnes cases à gratter . Rien d’illégal dans la démarche en soit de la part des personnes qui utisent cette méthode pour aider la chance. Les consommateurs n’étant en effet pas responsables des défaillances techniques de l’imprimeur sollicité par l’enseigne.
Les dirigeants de Carrefour informés de cette faiblesse de leurs tickets de jeu n’ont pour l’instant pas stoppé cette opération commerciale. Des pratiques condamnables d’intimidation envers des “heureux gagnants” ont été pourtant signalées à Brest : présence de vigiles sur le stand des hôtesses, refus de donner les fameux gains avec photocopie des cartes d’identité des gagnants déboutés, affichage depseudos modifications du réglement du jeu...
L’on peut aisément comprendre le désarroi des dirigeants de Carrefour quant on sait que ce sont cent cinquante millions de tickets-jeu qui ont été imprimés et diffusés dans toute la France et que cette opération promotionnelle est couplée avec une opération “deux produits achetés, le troisième offert.” En attendant que Carrefour réimprime en urgence des milliers de tickets-jeu totalement opaques pour aller jusqu’au bout des cinq semaines de cette opération, les plus malins pourront continuer à remplir gratuitement leur caddy.
Prolonger le débat sur le site internet lesradins.com et sur le blog de J. Cartier
A lire avec attention la brochure commerciale diffusée actuellement dans les boîtes aux lettres, le consommateur averti aura remarqué que potentiellement tous les tickets-jeu peuvent prétendre à un gain ... et en plus “gratuitement et sans obligation d’achat”. Il suffit juste de gratter les bonnes cases. Pas évident me diriez-vous . Des petits malins ont découverts une faille dans le mécanisme du jeu de l’enseigne et gagnent au grattage à tous les coups et le font savoir sur internet. D’après l’information qui circule sur les forums de discussion - information confirmée par les hôtesse du Carrefour de Brest - il serait possible de pouvoir lire dans le noir et à l’aide d’une lumière laser et ainsi “deviner” quelles sont les trois bonnes cases à gratter . Rien d’illégal dans la démarche en soit de la part des personnes qui utisent cette méthode pour aider la chance. Les consommateurs n’étant en effet pas responsables des défaillances techniques de l’imprimeur sollicité par l’enseigne.
Les dirigeants de Carrefour informés de cette faiblesse de leurs tickets de jeu n’ont pour l’instant pas stoppé cette opération commerciale. Des pratiques condamnables d’intimidation envers des “heureux gagnants” ont été pourtant signalées à Brest : présence de vigiles sur le stand des hôtesses, refus de donner les fameux gains avec photocopie des cartes d’identité des gagnants déboutés, affichage de
L’on peut aisément comprendre le désarroi des dirigeants de Carrefour quant on sait que ce sont cent cinquante millions de tickets-jeu qui ont été imprimés et diffusés dans toute la France et que cette opération promotionnelle est couplée avec une opération “deux produits achetés, le troisième offert.” En attendant que Carrefour réimprime en urgence des milliers de tickets-jeu totalement opaques pour aller jusqu’au bout des cinq semaines de cette opération, les plus malins pourront continuer à remplir gratuitement leur caddy.
Prolonger le débat sur le site internet lesradins.com et sur le blog de J. Cartier
Plaintes à envoyer à :
Direction départementale, de la consommation et répression des fraudes de l'Essonne
34, cours Blaise Pascal, 91025 EVRY CEDEX.
Mél : dd91@dgccrf.finances.gouv.fr
L'Essone est le département du siège social de la Société Carrefour France.
Mél : dd91@dgccrf.finances.gouv.fr
L'Essone est le département du siège social de la Société Carrefour France.