Christian PERROT - Page 19
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Notre Dame des Landes : Entretien avec Julien Durand, porte-parole de l'ACIPA
La préparation de la manifestation du 22 février à Nantes est entrée dans sa phase active. Y compris pour les promoteurs du projet qui tentent de convaincre de l'inéluctabilité démocratique de la destruction du bocage de Notre-Dame-des-Landes et n'hésitent pas à propager la rumeur. Dernier exemple en date, le titre en une du quotidien nantais Presse Océan du 30 janvier, « Et si l'aéroport ne se faisait pas », interrogeant sur le coût pour les contribuable d'un éventuel arrêt. C'est dans ces circonstances que Les Alternatifs de Loire-Atlantique ont demandé à Julien Durand, porte-parole de l'ACIPA, Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d'Aéroport de Notre-Dame-des-Landes constituée en 2000 pour lutter contre le projet d'aéroport du Grand Ouest, de faire le point sur la situation actuelle à Notre Dame des Landes et sur les enjeux du 22.Lien permanent Catégories : agriculture, environnement, luttes, Notre Dame des Landes, politique 0 commentaire -
Toujours pas de moratoire sur le vote électronique en France !
Si le Ministère de l'Intérieur a bien gelé à raison en 2008 la liste des communes autorisées à utiliser des machines à voter, il n'y a toujours pas de moratoire sur l'utilisation du vote électronique en France. Encore moins de débat avec la population sur cette question alors que plus de cent mille personnes ont à ce jour signé une pétition demandant un tel moratoire. C'est donc toujours environ 1,4 million d'électeurs qui sont privés depuis 2004 dans notre pays de tout contrôle citoyen et ceci scrutin après scrutin (« Brest ville pionnière ! »). C'est inadmissible !
C'est affligeant de constater au bout de presque 10 années d'opacité électorale imposée aux brestois, que la Ville de Brest fasse toujours du lobbying auprès du Ministère de l'Intérieur pour faire perdurer cette régression et privilégier des intérêts privés. Drôle de bilan pour François Cuillandre et sa majorité au bout de deux mandatures. Il est à noter que les machines à voter utilisées à Brest étaient déjà obsolètes en 2004 lors de leur acquisition. Elles ont aujourd'hui plus leur place au rayon des antiquités que dans les bureaux de vote. C'est une escroquerie de vouloir faire croire à la population que ces matériels seraient « modernisables ».Suite, à l'abandon de l'utilisation des machines à voter NEDAP (les mêmes qu'à Brest !) dans de nombreux pays européens ces dernières années, on constate en France le même mépris vis à vis des citoyens quel que soit le gouvernement. Que penser aujourd'hui du Parti Socialiste qui demandait en 2007 un moratoire sur l'utilisation des machines à voter lors des élections quand il était dans l'opposition gouvernementale et qui, aujourd'hui aux manettes du pays, se contente d'un statut quo pour ne pas désavouer les élus qui se sont engagés à grands frais dans l'impasse du recul démocratique. En matière d'amélioration des pratiques démocratiques, on comprend déjà que le changement ne viendra pas des socialistes. A Brest de toute façon, on le savait déjà.
Aller plus loin :
- Abandon du vote électronique lors des scrutins électoraux : le PS se fait attendre !
Alternatifs de Bretagne – 4 juin 2013- Lettre ouverte des Alternatifs à l’attention du Bureau National du Parti Socialiste et de son candidat à l’élection présidentielle de 2012 - 03 décembre 2011
- Le Parti socialiste demande un moratoire sur l’utilisation des machines à voter lors des élections présidentielles et législatives. - Communiqué de presse du Bureau National du Parti Socialiste - 27 mars 2007
-Vote électronique : recul démocratique à Brest !
Par Chris Perrot - 24 février 2004- Ordinateurs-de-vote.org
Citoyens et informaticiens pour un vote vérifié par l'électeur- Ethique citoyenne
L'éthique, l'autre dimension du pacte social- Pétition pour le maintien du vote papier
A lire :
- « La controverse des machines à voter en France », Par Chantal Engheuard
Mémoire de Master 2 de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales soutenu le 14 septembre 2011.- « Introduction à l'analyse de chimères technologiques, le cas du vote électronique », Editions du CNRS, Cahiers Droit, Sciences & Technologies, n°3, (2010), p:261-278.
A voir :
Interview de Chantal Enguehard, maître de conférence
au Laboratoire Informatique de Nantes Atlantique (LINA) -
Face au mépris : Toujours présents, toujours résistants, plus légitimes que jamais !
Lutte de Notre-Dame-des-Landes :
Appel commun Coordination / des occupant-es de la ZAD / COPAIN44 / Naturalistes en Lutte
Les mesures de compensation, une mascarade de trop !
Pour nous toutes et tous, les mesures de compensation, c'est le projet d'aéroport qui avance ! Il faut donc empêcher ces mesures de se réaliser : mares, transferts d'arbres et d'espèces, ainsi que l'élargissement des routes et la construction du barreau routier.
Luttons ensemble pour stopper le projet d'aéroport !
Lorsque les travaux seront imminents, les informations et rendez-vous seront communiqués, dès que possible, sur les 3 sites zad.nadir.org, acipa.free.fr, et naturalistesenlutte.overblog.org ainsi que par mail et par téléphone.
Comme nous l'avons répété à maintes reprises, la promotion du projet d'aéroport et la bagarre médiatique en cours sur l'imminence de "l’avancée des travaux" reposent sur une succession de mensonges dont la grossièreté n'a d'égale que le mépris des citoyens qu'elle révèle. Nous sommes depuis le départ, individuellement et collectivement, toutes organisations confondues, pris pour des benêts. Impossible de tout reprendre ici. L'étourdissant florilège des âneries s'est encore enrichi récemment, lorsque les porteurs du projet prétendent prouver que le transfert de l'actuel aéroport coûtera "moins cher" que l'aménagement de Nantes Atlantique : espèrent-ils vraiment qu'aucun citoyen ne relèvera qu'il s'agit de comparer un 'coût' de mise à niveau de Nantes Atlantique pour 9 millions de passagers vers 2060 avec le coût de construction à Notre Dame des Landes en 2017 d'un aéroport calibré à 4 millions de passagers ? Que personne ne remarquera la non prise en compte de l'évolution technologique des moteurs d'avions ?Cela fait maintenant des années que nous mesurons aussi le mépris vis à vis des exploitants de la zone du projet : pressions sur les agriculteurs jusqu'au harcèlement, estimations foncières au rabais. Mépris des grévistes de la faim en 2012 : dans le discours, 'nous partageons les mêmes valeurs... nous vous supplions de ne pas mettre votre santé en péril...' ; et dans les faits vingt-huit jours (28! ) avant que ne s'ouvre une négociation avec le PS local sur une clause de non expulsion, aujourd’hui ouvertement remise en cause. Mépris vis à vis des occupants de la Zad promue à l'état de "kyste" qu'il faut karchériser... Mépris des agriculteurs en place qui, depuis de longues années, font leur travail en étant en phase avec les recommandations du Grenelle et qui ne comprennent pas qu’on veuille tout détruire pour un projet inutile.
Nous n'avons donc aucune raison d'être surpris de la désinvolture criminelle des porteurs du projet vis à vis de la richesse biologique globale de la zone. Ce qu'ils nomment "déplacement des espèces protégées" (deux espèces de tritons), dans les conditions annoncées, c'est tout simplement leur destruction programmée, comme celle des milliers d'espèces d'importance vitale pour la constitution des écosystèmes spécifiques de la zone. Cette mort programmée, conséquence directe des 'déplacements' sélectifs, comme les mesures de compensation liées à la 'loi sur l'eau', nous révoltent légitimement. Elles participent au début de la mise en œuvre du projet, et nous nous y opposerons collectivement.
La Coordination fait sienne la déclaration de l'AG de l'Acipa du 8 Novembre :
....Les travaux de déplacement des espèces protégées ne doivent pas commencer car ....
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les 12 réserves soulevées par la commission des experts scientifiques n’ont pas été levées,
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des recours juridiques vont être déposés dès la parution des arrêtés d’autorisation de déplacement/destruction des espèces protégées et de la Loi sur l’Eau
Aucune situation irréversible sur le terrain ne doit être enclenchée. La mobilisation des opposants ne s’arrêtera qu’avec l’abandon de ce projet et l’engagement de maintenir Nantes Atlantique en contribuant à son amélioration.
Ce sont les paysans et habitants de la zone, soutenus par des milliers de citoyens, qui sont garants de la vie et de la biodiversité sur la zone : eux qui plantent, sèment, protègent...Les mesures de compensation sont une mascarade, certes. Mais elles n'auront pas lieu car il n'y aura aucun départ ni aucune destruction à compenser. Nous sommes là !
Appel signé des 50 groupes composant la coordination des opposants : Associations, Syndicats, Mouvements politiques et Collectifs divers – Liste consultable sur http://acipa.free.fr (onglet : autres sites)A propos de la lutte, s'informer, se mobiliser :
- La résistance prend racine prend racine à Notre-Dame-des-Landes - Décembre 2013
- Notre Dame des Landes - Nous serons là !
Lettre ouverte de Michel Tarin à tous les comités de soutien -Septembre 2013- Les arguments CONTRE le projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Coordination des opposants au projet d'aéroport
"Désintox : Notre-Dame-des-Landes ou les bobards du PS"
Dans un dépliant de 4 pages, l'ACIPA démonte un à un les bobards du Parti Socialiste...- « Examen de l'analyse Coûts/Bénéfices de l'aéroport du Grand Ouest - Comparaison avec des améliorations sur Nantes Atlantique » - Etude du cabinet d'études européen indépendant CE-Delft réalisée à la demande du collectif d’élus opposés au projet d’aéroport de Notre Dame des Landes (CEDPA). CE-Delft a passé au crible l’analyse globale de l’enquête d’utilité publique datée de 2006.
- 10 questions et 10 réponses dans Nantes Passion ou quand le « magazine de l’information municipale » désinforme ses lecteurs - par Louisette Guibert et Bertrand Vrain, conseillers municipaux de Nantes, Les Alternatifs.
- Les occupant-E-s de la ZAD (Zone à Défendre)
- Collectif de lutte contre l’aéroport de Notre Dame des Landes
- Paroles de campagne Notre Dame des Landes
- ACIPA (Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d’Aéroport de Notre Dame des Landes)
- CéDpa : Collectif d’élus Doutant de la pertinence de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes
A voir :
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Bonnets Rouges - Chronique d’un phénomène émergent
Par les Alternatifs FinistèrePour leur second rassemblement régional, le 30 Novembre sur le site des Vieilles Charrues à Carhaix, les « bonnets rouges » auront réussi encore une fois à rassembler un très grand nombre de manifestants, un mois après la manifestation de Quimper. Au dela de la bataille des chiffres (les organisateurs revendiquent 40 000 participants, la Préfecture leur en donne 17 000), force est de constater que ce rassemblement a été un succès pour ses organisateurs ; succès probablement alimenté en partie par son caractère festif et par le plateau qui se produisait sur scène, mais pas seulement. Qu’on le veuille ou pas, qu’on s’inquiète de ses bases idéologiques ou pas, pour l’heure, le mouvement des « bonnets rouges » constitue dans les faits un mouvement de masse en Bretagne ; un mouvement de masse qui véhicule pèle-mêle un ensemble d’inquiétudes pour l’avenir immédiat (en particulier dans des zones rurales qui se sentent marginalisées), de revendications contradictoires allant, dans un même élan, de la suppression de l’écotaxe à la lin du dumping social en Europe, d’intérêts de classes objectivement divergents.
Et c’est là qu’on mesure l’habileté des lobbies libéraux et productivistes (FNSEA, MEDEF…) d’avoir su détourner une colère sociale légitime en croisade antifiscale. La filière agro alimentaire bretonne, qui représente 30% de l’emploi industriel de la Région, est entrée dans une crise profonde au moins pour une partie d’entre elle. C’est particulièrement vrai pour la Bretagne occidentale qui connait depuis 2 ans une vague de plans sociaux portant sur des milliers d’emplois. Certaines des entreprises concernées sont de type capitalistique classique comme Doux, Tilly (volaille export), Marine Harvest (saumon) ; d’autres comme Gad et Boutet-Nicolas sont contrôlées par des coopératives agricoles dirigées par les représentants de la FNSEA. Pour la filière volaille, les patrons ont longtemps vécu et bien vécu sur la rente que représentaient les restitutions (subventions à l’exportation) de l’Union Européenne.
C’est dans ce contexte que le 18 Octobre, s’est tenue à Carhaix une réunion publique en présence de 600 personnes pour soutenir les salariés de l’agroalimentaire du secteur menacés de licenciement. Il en est ressorti la création d’un comité pour le maintien de l’emploi et c’est à cette occasion qu’a émergé le principe d’une grande manifestation à Quimper le 2 Novembre. Parallèlement, patronat, transporteurs et agriculteurs de la FNSEA menaient bataille contre l’écotaxe au nom de la « compétitivité de l’économie bretonne » (le premier portique abattu l’a été au mois d’Aout), entrainant avec eux un certain nombre de salariés de l’agro alimentaire, y compris des délégués syndicaux de FO. Rapidement entre le 18 Octobre et le 2 Novembre on a vu les mots d’ordre changer de nature pour la manifestation de Quimper et se focaliser sur la lutte contre « l’étranglement fiscal », le « carcan réglementaire qui étouffe l’initaitive ». En même temps, le comité pour l’emploi se muait dans les faits en comité « vivre, décider et travailler en Bretagne » agrégeant autour du maire de Carhaix les lobbies libéraux et productivistes de la Région (MEDEF, FNSEA, Chambre d’agriculture, Produit en Bretagne, représentants de la grande distribution…).
On ne fera croire à personne qu’on peut sortir du chapeau (c’est le cas de le dire) en 48 heures les milliers de bonnets rouges qui ont été distribués dans la Région autour du 2 Novembre. Le coup était bien préparé, récupérant et dévoyant au passage le symbole d’une des plus anciennes luttes pour la justice sociale et contre l’oligarchie que la Bretagne ait connue à la fin du 17ème siècle ; une lutte qui, au travers de ses codes paysans, a préfiguré les cahiers de doléances de la Révolution
Il est totalement stupide et insultant de considérer les milliers de personnes qui ont participé aux rassemblements des « bonnets rouges » comme des « nigauds », « des esclaves », voire de la graine de fascistes. A l’évidence, l’écrasante majorité d’entre elles appartiennent aux couches populaires, désespérées par une crise économique et sociale qui les écrase et à qui les forces progressistes, Gauche de transformation comprises, ont été jusqu’ici incapables d’offrir une perspective mobilisatrice à une échelle de masse. L’Union Départementale FO s’est retiré du mouvement ; le MEDEF régional, rassuré par la reculade du Gouvernement sur l’écotaxe, a pris ses distance avec les « bonnets rouges ». Pour autant, s’il n’en est pas la force principale en termes d’effectifs, une fraction du patronat breton reste une force inspiratrice majeure de ce mouvement de révolte hétérogène, bien plus que l’UMP qui surfe sur les évènement plutôt qu’elle ne les pilote.
C’est la fraction qui tourne autour de l’Institut de Locarn, cercle d’étude libéral qui réunit au niveau régional des chefs d’entreprises, des universitaires et à qui les élus socialistes de la Région ont longtemps léché les bottes. Ce sont aussi des entreprises réunies autour du label « produit en Bretagne » et les tenants de l’agriculture intensive et productiviste. Tous ces gens-là ont développé au fil des années une théorie selon laquelle les territoires à forte identité culturelle sont les seuls qui s’en sortiront dans le cadre d’une compétition économique mondialisée et revendiquée comme telle. D’où les discours récurrents sur « moins d’impôts », « moins de contraintes administratives et environnementales », « baisse du coût du travail »… Avec l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement socialiste marqué par l’inconsistance et la capitulation permanente devant les forces du capital, ils sont passés de la théorie à un début de mise en oeuvre à travers des évènements que la Bretagne vient de connaître et sur un fonds. A preuve : l’annonce par le Comité de Convergence des Intérêts Bretons, où on retrouve les mêmes, de la sortie prochaine d’une plateforme revendicative en 10 points présentée comme « libérale et régionaliste ». Et le pire, c’est que ça marche, puisque le Gouvernement a confirmé un « assouplissement » des règles qui encadrent les extensions des élevages porcins, substituant une simple déclaration à la procédure d’autorisation d’installation classée au dessous de 450 places.
Dans ce morne paysage de la situation sociale et politique de la Bretagne, il y a quand même quelques lueurs d’espoir. Alors que le Gouvernement Ayrault annonce un « pacte d’avenir » pour la Région, une quinzaine d’organisations de défense de l’environnement viennent de s’adresser à des syndicats de salariés, à la Confédération Paysanne et à des associations de consommateurs pour porter ensemble un appel citoyen à la prise en compte des dimensions sociales et environnementales dans les politiques publiques. Un embryon d’alternative sociale et écologique à la logique libérale dominante.Aller plus loin :
- Pour un pacte d’avenir écologique et solidaire pour la Bretagne et les Bretons
Appel à l'initiative d'associations environnementales de Bretagne.- Les 7 lacunes d'un pacte sans avenir
Lettre au Président de la république de le Coordination marées Vertes et algues Bleues et Agir Pour l'Environnement.
- Pour en finir avec les plans de licenciements pour une alternative au capitalisme et au productivisme - Déclaration commune d'ATTAC, les Alternatifs et le NPA
Texte diffusé lors de la manifestation de Quimper du 2 novembre 2013A propos de la manifestation de Quimper :
- Une autre vision des bonnets rouges
Par des révoltés bretons - 04 novembre 2013- Front de gauche et écolos, vous avez insultés les bretons, faudra pas venir pleurer
Par une zadiste bretonne - 04 novembre 2013- Il y a du rouge sur les bonnets rouges
Par Philippe Marlière - 07 novembre 2013A propos de l'écotaxe :
- Ce n'est pas l'écotaxe qu'il faut geler mais la TVA !
Communiqué de presse d'ATTAC - 06 novembre 2013Lien permanent Catégories : agriculture, Bretagne, eau, emploi, environnement, Finistère, luttes, politique, social, société 0 commentaire -
Ayraulthon
Sur une idée originale de Cécile Dufflot, comique gouvernementale.
Toi aussi à Noël, offre une jolie boîte de jeu à Monsieur A. afin qu'il puisse rêver en miniature à son « grand projet à lui qu'il a » avec ses copains de Loire-Atlantique sans emmerder les salamandres du bocage de Notre-Dame-des-Landes.« Monsieur A., même si tu n'as pas un gros aéroport à toi que tu as, on t'aimera quand même... » dixit Madame D. désormais très attachée à son maroquin ministériel à elle qu'elle a aux côtés de Monsieur A.
Madame D. qui, les pieds sur terre, n'a jamais rêvé d'être une hôtesse de l'air...
Discours Cécile DUFLOT - Notre Dame des Landes -Juillet 2011Lien permanent Catégories : agriculture, Bretagne, eau, environnement, humour, Notre Dame des Landes, politique 0 commentaire