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lutte - Page 3

  • Faites la lutte, pas l’autruche !, concert de soutien au collectif A.R.T. 29

     Afin de lever les fonds nécessaires aux actions du collectif A.R.T. 29 (intermittents et précaires en lutte contre les accords UNEDIC du 22 mars), musiciens et techniciens brestois organisent un

    concert de soutien

     le jeudi 26 juin à 20h00 au Vauban à Brest.

    Avec : Mon Automatique, Merzhin, Electric Bazar Cie et Working Class Zero

    Entrée : Prix libre. 

    Soutien-ART29.jpg

     

    A l'affiche :

    Mon Automatique
    "Une guitare rock noisy, un frontman complètement fou, des samples de claviers, des basses, des rythmiques très classes... Une musique des plus particulières entre Diabologum, Gainsbourg, Sonic Youth ou encore dEUS".
    http://www.monautomatique.com
    https://www.facebook.com/pages/Mon-Automatique/167581936708

    Electric Bazar Cie
    Electric Bazar Cie est une tornade rockabilly zigzagant entre furie bretonne et folie des Carpates, furieusement west coast, hystériquement balkanique. L’Electric Bazar recycle les influences croisées sur les routes de ses nombreux voyages (Tchéquie, Pologne, Suisse, Espagne, Bosnie-Herzégovine, Grande-Bretagne, Belgique, Allemagne) pour en tirer un blues balkanique, un tango rock ou une polka-noise. Habité par le vaudou, libéré par le punk, ce groupe virtuose, rodé par des années de route et des centaines de concerts, sait mieux que personne retourner un public.
    http://www.electric-bazar.net
    https://www.facebook.com/ElectricBazarCie

    Merzhin
    Les heures tournent et dans le bon sens pour MERZHIN, avec ses 18 années d’activité au compteur. Un groupe toujours fidèle à cet esprit qui lui est propre : libre, poétique et rock’n’roll.
    http://www.merzhin.net
    https://www.facebook.com/merzhinofficiel

    Working Class Zero
    Avec d’anciens membres d’Al Kapott, de Mass Hysteria et de No Place For Soul au line-up, Working Class Zero tape forcément dans le rentre-dedans ! Au vu du millésime et du passif de ses membres, les influences punk, métal et alternatif de Working Class Zero n’étonneront personne. Tout ça fleure bon les 90’s rageuses. Une beigne assurée, par des héros patentés de la scène brestoise !
    https://www.facebook.com/pages/WORKING-CLASS-ZERO-officiel/214202255280199

  • A Brest les intermittents et précaires en lutte vous invitent au ciné !

    En ce jour d'ouverture du festival de Cannes (14 mai 2014), la coordination nationale des intermittents et précaires en lutte contre la réforme de l'UNEDIC avait décidé des action visant les salles de cinéma. Le rendez-vous était donc fixé à Brest à 18h30 pour une intervention à 19h au «Liberté».

    Le but de l'opération : la gratuité des projections pour le public. Une quarantaine d'intermittents ont bloqué l’accès aux caisses, recouvert les distributeurs de sacs poubelle et accroché des affiches sur les vitres. Assez rapidement, le directeur du lieu a appelé la police. Une vingtaine de minutes plus tard, trois représentants de l'ordre sont arrivés sur les lieux mais devant le pacifisme de notre action, ils n'ont rien tenté pour nous déloger. Des tracts ont été distribués et des conversations engagées afin d'expliquer les raisons de notre action ; à part la très survoltée vendeuse de pop-corn, les gens ont dans l'ensemble été assez réceptifs.
    Finalement, le directeur de la salle a décidé de ne pas projeter les films, les clients ont été invités à sortir du complexe. Puisqu'il nous devenait impossible d'offrir des séances au public, nous avons évacué tranquillement les lieux sous la caméra de France 3.
     



    Et ailleurs en France... :


    Prises de paroles au cinéma Grand Rex à Paris
    lors de l'ouverture du festival de Cannes - 14/05/2014

    S'informer :

    - Coordination des  Intermittents et Précaires d'Ile de France (CIP-IDF)

    - Art en Résistance dans les Territoires - Section Finistère (A.R.T. 29 )

    - Propositions pour le régime des intermittents du spectacle (annexes 8 et 10)

    - A propos de l'intermittence du spectacle : intox et désintox

    Et aussi :

    - Défendons le système d'indemnisation des intermittent.e.s du spectacle !
    Communiqué de presse des Alternatifs - 04 mars 2014

    - Négociation UNEDIC
    Communiqué de presse des Alternatifs - 18 février 2014

  • Défendons le système d'indemnisation des intermittent.e.s du spectacle !

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    Communiqué de presse des Alternatifs - 04 mars 2014


    Si il a renoncé a exiger le démantèlement pur et simple du système d'indemnisation des intermittent.e.s, le MEDEF entend bien réduire leurs droits, comme ceux de tous et toutes les chômeurs.

    Les droits spécifiques des intermittent.e.s ne s'apparentent pas à une subvention à la culture, mais constituent un régime de protection sociale reposant sur la solidarité interprofessionnelle pour des salarié-e-s qui cotisent et connaissent une forte précarité.

    alternatifs,communiqué de presse,culture,spectacle,indemnisation,intermittent,lutte,chômage,chômeur,précaire,régime,droits,medefPour les Alternatifs, ce système n'est pas un "archaïsme", mais préfigure ce que devrait être une solidarité collective assurant la sécurisation des parcours professionnels. L'enjeu est essentiel, dans une situation où de très nombreux.ses salarié.e.s en sont réduits à négocier, le dos au mur, des indemnités de licenciement. La lutte des intermittent-e-s constitue un enjeu global contre la précarisation et le chômage au même titre que la réduction du temps de travail. Elle pose aussi la question de la place de la culture, menacée, comme bien d'autres dimensions de nos vies, par la marchandisation généralisée et les politiques de régression sociale et d'austérité.Cette volonté de tout marchandiser s'accompagne d'un discours politique et médiatique visant à consolider l’idée qu’aucune autre vision de la société n’est possible, que ce sont les entreprises qui doivent être aidées, et pas les précaires qui seraient  des "profiteur/ses".
    Le 27 février, une première et forte mobilisation nationale a contraint le MEDEF à revoir son discours. Mais d'autres seront nécessaires pour le faire réellement reculer, toujours dans l’unité des professionnels du spectacle, mais aussi par le rassemblement le plus large avec tous les salarié-e-s, les précaires et les privé-e-s d’emploi.

    En savoir plus :

    A propos de l'intermittence du spectacle : intox et désintox

  • D'un Bidule

    Suite au Congrès des Alternatifs de l'automne dernier...

    Bidule.pngPlutôt qu'à choisir entre la marche forcée ensemble dans le Front (de gauche) derrière les révolutions mélenchoniennes (1) et le moelleux des pantoufles de la retraite anticipée, nous proposons les claudications d'un bidule bancroche. Il pourrait intéresser ceux qui ne se satisfont de ce que nous interprétons comme l'agonie des Alternatifs, mais aussi être un interlocuteur pour qui, au sein des Alternatifs, souhaite voir perdurer la recherche d'alternatives. Enfin, c'est à voir. C'est ce que nous vous proposons.

    Rouge&Vert, le journal des Alternatifs, nous offre 6000 signes pour s'en expliquer auprès des Alternatifs et, nous l'espérons, les intéresser. 6000 signes, c'est très court. Une version plus longue est disponible sur notre site bidule.mx

    Et déjà 800 signes

    Passons rapidement sur les raisons de cette séparation : Les Alternatifs revendiquaient de marcher sur deux jambes - l'une, les campagnes, les institutions, les discussions de Colonel Fabien, les échanges avec d'autres composantes de la gauche, le travail d'élus locaux ; L'autre les mouvements sociaux, la contre société, l'expérimentation etc … Depuis longtemps déjà,les deux jambes étaient de tailles inégales. Les derniers choix majoritaires n'ont fait qu'achever le déséquilibre. Nous enregistrons ce choix. Ce n'est pas le nôtre. Nous avons donc décidé, plutôt que de nous lamenter sur la disparition de ce qui composait cet espace condamné, de le faire vivre. Et pour commencer nous réaffirmons la pertinence de l'analyse rouge et verte. Vraiment rouge et vraiment verte : Il n'existe ni capitalisme humanitaire ni croissance soutenable. C'est pourquoi la tâche d'élaboration d'un contre-projet nous semble centrale. Ce projet de Révolution Lente procède par l'accumulation au quotidien de tous les éléments constitutifs de résistances et des pratiques alternatives aux potentiels émancipateurs jusqu'à basculement de la société.

    Ainsi d'entreprises latino-américaines reprises pendant une décennie sans patron et qui fonctionnent toujours, ainsi de l'expérience zapatiste, ainsi de modes d'organisation démocratiques pour des organisations de masse, très populaires et dans les luttes de terrain radicales (comme le Mouvement des Sans-terre au Brésil, Ektha Parishad en Inde), ainsi de luttes sociales démocratiques construites autour d'AG souveraines, ainsi de développement de circuits de commerce hors du système dominant, d'espaces de gratuité, ainsi d'expériences de nouvelles pédagogies. Ainsi de nouveaux espaces de vie (squats, territoires occupés, nouvelles habitations...). Ainsi de médias alternatifs. Ainsi d'une irruption politique stambouliotte horizontale. Encore nous pensons qu'il faut lier ces expériences, les inter-pénétrer, qu'elles fassent système entre elles.

    Ce travail, qui vise à la sortie du système capitaliste, il se fait aujourd'hui dans notre quotidien et ne nécessite pas le préalable d'une majorité parlementaire, une armée ou effondrement de l'état.

    3000 signes

    Bidule_poing.jpgDans ce cadre, notre travail militant, nous l'imaginons collectif, mais pas partidaire. Il ne s'agit pas d'être LE lieu, L'outil de la rupture mais d'y participer à notre mesure. Pour autant, il s'agit aussi de se poser les questions de structurations démocratiques. Même si des progrès techniques tel que les nouvelles technologies de la communication ou les outils collaboratifs numériques sont des soutiens de taille pour cette réalisation, notre structuration va nécessiter une vigilance démocratique réelle. Car ce bidule – nous l'appelons le « #Bidule » aujourd'hui. Le nom viendra quand il viendra, nous ne sommes pas une agence de com' - n'évitera la centralisation du pouvoir que s'il diffuse ce pouvoir, c’est-à-dire, s'il l’annihile. C'est un défi tant tout pousse à la délégation, aux hiérarchies, aux dominations, à la centralisation.

    Et l'urgence électorale, les nécessités de représentation à l'extérieur, l'impérieuse obligation d'être le 24e signataire de tel appel peuvent être repoussés le temps de chercher. Il faut en effet fabriquer notre propre calendrier, sans être sourd et aveugle à l'actualité. Ne pas cesser, par exemple, de parler de la sortie du nucléaire ou du désenclavement des banlieues parce qu'une classe politico-médiatique considère que ce n'est pas dans l'agenda du moment. Mais s’intéresser aussi à ce qui est relégué, prétendument non-politique. Et de politiser des cadres de militantismes thématiques.

    Voila qui met au centre de ce projet, outre l'information, l'intellectuel collectif et la formation. Les premières hypothèses seraient de travailler à une ou deux rencontres annuelles pour travailler un thème, mais aussi en s'organisant de façon moins conventionnelle. Les axes, nous les connaissons déjà : l'écologie radicale, l'Autogestion, l'antisexisme et le féminisme, les pratiques alternatives... Bien entendu ce programme de réflexion et d'action n'est nullement en contradiction avec le militantisme local.

    Notre approche, nous pensons qu'elle pourra intéresser les Alternatifs et ex-Alternatifs, mais aussi des militant-e-s d'autres organisation de l'écologie, la gauche alternative, l’extrême-gauche ou libertaire. Les premiers accueils sont d'ailleurs positifs.

    5400 signes, faut finir

    L'objectif de ce Bidule n'est nullement de nous mettre en concurrence des Alternatifs (ni en être une tendance ou un instrument) . Notre finalité n'est pas le champs électoral et nous ne participerons pas aux débats sur la recomposition/décomposition des Alternatifs, d'Ensemble ou du FdG. Nous espérons que notre projet intéressera ceux qui quittent les Alternatifs et regrettent la disparition de ce qui en faisait sa spécificité. Nous espérons aussi que nous partagerons ce projet avec des personnes restant, par ailleurs membre des Alternatifs. Nous pensons qu'il est même possible d'organiser ensemble des choses.

    C'est une chose en devenir, un projet, un chantier, dont nous avons livré ici les premières briques. Le chemin est escarpé. D'autant qu'il n'est pas dans l'air du temps. Nous le prenons à peu.Mais nous ne prenons que l'engagement d'essayer. Sans garantie. Nous vous invitons à le prendre avec nous. De toute façon, « Celui qui rame dans le sens du courant fait rire les crocodiles ».

    Nawal Badaoui, Louis Bertrand, Raphaël Brangier, Thomas Capron, William Elie, Vladimir Fisera, Bernadette Laval, Michèle Lemaitre, Jean-François Martin, Chris Perrot, Anne Teurtoy et Roger Winterhalter (Alternatifs),
    Mathieu Colloghan, Henri Feral, Sabine Lasnier et Floran Rideau (Ex-Alternatifs),

    Pascale Balbo Mossetto, Mehdi Lévêque et Neil Jobard (qui n'ont jamais été membres des ALternatifs)

    (1) Après avoir initié la « révolution électorale » puis la « révolution fiscale », quel sera donc le nouveau slogan galvaudant encore un peu plus la notion révolutionnaire ? La révolution des cotisations ? La révolution administrative ? La révolution de la réforme ?

    Une version longue de ce texte, qui prend le temps de rentrer dans plus de détails est disponible sur le site du #bidule : bidule.mx.

    On peut aussi y prendre contact.

  • Refusons les projets inutiles imposés ! Mettons un terme au temps des pharaons !

    Louvre_NDDL_greenpeace.jpgAéroport à Notre-Dame-des-Landes, ligne ferroviaire Lyon-Turin,
    réacteur thermonucléaire ITER à Cadarache,
    centrale à gaz de Landivisiau,
    et plein d'autres projets près de chez nous...

     

    Tandis que les situations économique, sociale et environnementale se dégradent chaque jour, tous les projets inutiles et imposés via des simulacres de démocratie sont des réponses inadaptées aux besoins des populations et aux enjeux du présent. Ils sont révélateurs d’une vision politique obsolète fondée sur l'idée que les ressources naturelles sont inépuisables. Que ce soit le projet de l'aéroport à Notre-Dame-des-Landes, de la centrale à gaz à Landivisiau, de la ZAC à Daoulas, de la rocade de Lanrinou à Landerneau, de la route qui détruira la vallée du Restic à Brest, de la carrière d'extraction de sable à Plouguin, de ports de plaisance au Guilvinec ou au Diben (Plougasnou)... tous ces projets ont en commun : la destruction des liens humains, des terres agricoles, des zones humides et de la biodiversité... Ils freinent la création d’un modèle de développement humainement responsable. Ils persistent à promouvoir des infrastructures pour servir les intérêts privés d'une minorité de personnes.

    Des projets destructeurs d'emplois et de terres agricoles
    C'est environ 86 000 hectares de terres agricoles qui disparaissent chaque année en France au profit de l'urbanisation, soit l'équivalent d'un département français de taille moyenne tous les 7 ans ! Des emplois dépendent de cette terre nourricière : « Nous avons perdu 160 000 emplois paysans en 10 ans – l'équivalent de deux plans sociaux PSA/Citroën par an dans la plus grande indifférence » constate la Confédération paysanne ! L'accaparement des terres sous différentes formes est à l'œuvre ici et ailleurs dans le monde et la souveraineté alimentaire des peuples est partout menacée.

    Des projets nuisibles et polluants
    Les projets inutiles et imposés contribuent à la production de gaz à effet de serre et au désastre climatique en cours. L’environnement est irrévocablement saccagé, le niveau des mers et des océans ne cesse de s'élever, les conditions de vie et la santé des populations sont sacrifiées au bénéfice de l’intérêt financier. Conséquences de taille sur les gaz à effet de serre : 5 millions de tonnes de CO2 pour le seul projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Une centrale à gaz de 450 Mégawatt à Landivisiau dégagerait dans l'atmosphère 1 million de tonnes de CO2 par an !

    Des gaspillages d'argent public
    impasse_des_GPII.jpgCes projets financés ou co-financés, pour la plupart, avec de l'argent public ont un coût exorbitant. Sur la centaine de Grands Projets Inutiles Imposés (GPII) recensés en France et en n'en prenant que quelques-uns parmi eux, on arrive déjà à des sommes considérables ! Un aéroport à Notre-Dame-des-Landes, sans les travaux connexes, coûterait en fonds publics pour le moins 250 millions d'euros. Une centrale à gaz à Landivisiau 40 millions d'euros par an durant au moins 20 ans reconductible, soit 40 ans, donc entre 800 millions d'euros et 1,6 milliard d'euros. Le projet de réacteur thermonucléaire ITER coûterait 15 milliards d'euros ! La ligne ferroviaire Lyon-Turin coûterait 26 milliards d'euros selon la Cour des comptes. Au total, rien que pour ces projets, il s'agit de plus de 45 milliards d'euros ! Il faudrait accepter ces gaspillages d'argent public tandis qu'à longueur de temps l'État nous dit que ses caisses sont vides et qu'il augmente la pression fiscale sur les moins lotis ?

    Alors : gouverner c'est choisir ! Choisir de rester dans l'impasse, de jeter par les fenêtres l'argent public, de détruire les emplois et les terres, au nom et au profit d'une minorité ; ou bien construire pour tous un avenir durable et non délocalisable. Pour cela il faut lutter contre le gaspillage en bloquant ces projets inutiles imposés.

    Rejoignez les résistances !

    contact : ppi-7decembre@riseup.net

    Comités de soutien de Brest, Morlaix, Landerneau et Pays Bigouden à la lutte de Notre-Dame-des-Landes - Collectif GASPARE - Landivisiau doit dire Non à la centrale - Collectif « Pour la sauvegarde de la vallée du Restic » (Brest) - Collectif Stop Lanrinou (Landerneau) - Association ADEL et le collectif « Zone Agricole à Conserver » (Daoulas) - Association « Bien vivre à Plouguin et ses environs » - Opposant.e.s à l'extension de la ZAC de l'Hermitage à Brest

    Cette manifestation s'inscrit dans le cadre de la Journée Européenne contre les Grands Projets Inutiles Imposés (GPII) et de la Journée Mondiale du Climat du 8 décembre,

    Manifestation à Brest le samedi 7 décembre 2013

     

    Aller plus loin :

    - ACIPA Fiche n°17 : Les grands projets inutiles et imposés (GPII)

    - Carte des 100 (et quelque) grands projets jugés « inutiles et imposés »
    par Rue 89

    Revue La Baleine  No 173 - octobre 2013 - numéro spécial : "Mobilisation contre les grands et petits ptojets inutiles imposés"

    - Revue Silence : "Résister aux grand projets inutiles"
    Dossier coordonné par Marie-Pierre Najman.

    - Le petit livre noir des grands projets inutiles
    par Camille (pseudonyme collectif) - Edition le passager clandestin

    Ecouter :

    - France Culture - Emission Terre à Terre du 14/12/2013
    Invités : Camille & Camille à propos du "Petit livre noir des grands projets inutiles"

    France Culture Emission Terre à Terre - samedi 16 novembre 2013
    ZAD du Morvan (en lutte contre le projet d'Incinérateur-scierie d'ERSCIA)