Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

chômage

  • Nous, sommes des surnuméraires

    Extrait de l'émission "Des idées sous les platanes" du 17 juillet 2014. Une émission de Xavier de La Porte, sur France Culture, réalisée lors du festival d'Avignon.

  • Intermittents et précaires invités au festival des Vielles Charrues

    Le jeudi 17 juillet 2014, des intermittents et précaires du Finistère étaient  invités à participer à une table ronde organisée par la WebTV du festival des des Vieilles Charrues pour évoquer la mobilisation contre la dernière convention régressive MEDEF UNEDIC.

    Se tenir informé de la mobilisation :

    Coordination des  Intermittents et Précaires d'Ile de France (CIP-IDF)

    Art en Résistance dans les Territoires - Section Finistère (A.R.T. 29 )

    - Collectif Brest en marche contre l'injustice sociale

  • La lutte des intermittent-e-s du spectacle c'est la nôtre !

     Nous somme toutes et tous des intermittent-e-s de l'emploi !

    GdB_chomeurs_ni_mendiants_ni_esclaves.jpg

    Texte du tract diffusé par le Collectif Brest en marche contre l'injustice sociale

    Le 22 mars 2014 les syndicats CFDT, FO et CFTC, avec les organisations patronales dont le MEDEF, ont signé une nouvelle convention UNEDIC, (elle règle le montant et la durée de l'indemnisation chômage).

    Malgré la forte mobilisation des intermittent-e-s du spectacle contre cette convention, le gouvernement l'a agréée le 26 juin 2014.

    La lutte des intermittent-e-s du spectacle, relayée par les médias, n'est que la face visible de l'iceberg : 80% des embauches actuelles s’effectuent en CDD !
    L’intermittence, les contrats courts et la discontinuité sont le quotidien des chômeurs et précaires.

    La lutte contre la nouvelle convention UNEDIC est tout sauf une lutte corporatiste, car elle défend les conditions de tout-e-s les chômeurs et précaires, c'est pourquoi nous en sommes pleinement partie prenante !

    Cet accord va encore dégrader les droits sociaux des plus exploités, les obligeant à accepter des emplois toujours plus précaires dans des conditions toujours plus mauvaises. Au contraire, garantissons sans conditions l’accès à l'assurance chômage à tout-e-s les salarié-e-s en emploi discontinu !

    NOUS REVENDIQUONS :

    •  L'abrogation de la dernière convention UNEDIC
    • L'augmentation des cotisations sociales par l'augmentation des salaires !

    • Un salaire inconditionnel !

    • L'abolition de toutes les formes d'exploitation !


    Sur le même sujet :

    - " Chômeurs, intérimaires, intermittents du spectacle, salariés précaires (ou qui pourraient le devenir) : pourquoi cet accord nous concerne tous !par Collectif Avignon Off de la Cip-Idf - 13 juillet 2014

  • Faites la lutte, pas l’autruche !, concert de soutien au collectif A.R.T. 29

     Afin de lever les fonds nécessaires aux actions du collectif A.R.T. 29 (intermittents et précaires en lutte contre les accords UNEDIC du 22 mars), musiciens et techniciens brestois organisent un

    concert de soutien

     le jeudi 26 juin à 20h00 au Vauban à Brest.

    Avec : Mon Automatique, Merzhin, Electric Bazar Cie et Working Class Zero

    Entrée : Prix libre. 

    Soutien-ART29.jpg

     

    A l'affiche :

    Mon Automatique
    "Une guitare rock noisy, un frontman complètement fou, des samples de claviers, des basses, des rythmiques très classes... Une musique des plus particulières entre Diabologum, Gainsbourg, Sonic Youth ou encore dEUS".
    http://www.monautomatique.com
    https://www.facebook.com/pages/Mon-Automatique/167581936708

    Electric Bazar Cie
    Electric Bazar Cie est une tornade rockabilly zigzagant entre furie bretonne et folie des Carpates, furieusement west coast, hystériquement balkanique. L’Electric Bazar recycle les influences croisées sur les routes de ses nombreux voyages (Tchéquie, Pologne, Suisse, Espagne, Bosnie-Herzégovine, Grande-Bretagne, Belgique, Allemagne) pour en tirer un blues balkanique, un tango rock ou une polka-noise. Habité par le vaudou, libéré par le punk, ce groupe virtuose, rodé par des années de route et des centaines de concerts, sait mieux que personne retourner un public.
    http://www.electric-bazar.net
    https://www.facebook.com/ElectricBazarCie

    Merzhin
    Les heures tournent et dans le bon sens pour MERZHIN, avec ses 18 années d’activité au compteur. Un groupe toujours fidèle à cet esprit qui lui est propre : libre, poétique et rock’n’roll.
    http://www.merzhin.net
    https://www.facebook.com/merzhinofficiel

    Working Class Zero
    Avec d’anciens membres d’Al Kapott, de Mass Hysteria et de No Place For Soul au line-up, Working Class Zero tape forcément dans le rentre-dedans ! Au vu du millésime et du passif de ses membres, les influences punk, métal et alternatif de Working Class Zero n’étonneront personne. Tout ça fleure bon les 90’s rageuses. Une beigne assurée, par des héros patentés de la scène brestoise !
    https://www.facebook.com/pages/WORKING-CLASS-ZERO-officiel/214202255280199

  • Défendons le système d'indemnisation des intermittent.e.s du spectacle !

    arton1355-8cba8.png

    Communiqué de presse des Alternatifs - 04 mars 2014


    Si il a renoncé a exiger le démantèlement pur et simple du système d'indemnisation des intermittent.e.s, le MEDEF entend bien réduire leurs droits, comme ceux de tous et toutes les chômeurs.

    Les droits spécifiques des intermittent.e.s ne s'apparentent pas à une subvention à la culture, mais constituent un régime de protection sociale reposant sur la solidarité interprofessionnelle pour des salarié-e-s qui cotisent et connaissent une forte précarité.

    alternatifs,communiqué de presse,culture,spectacle,indemnisation,intermittent,lutte,chômage,chômeur,précaire,régime,droits,medefPour les Alternatifs, ce système n'est pas un "archaïsme", mais préfigure ce que devrait être une solidarité collective assurant la sécurisation des parcours professionnels. L'enjeu est essentiel, dans une situation où de très nombreux.ses salarié.e.s en sont réduits à négocier, le dos au mur, des indemnités de licenciement. La lutte des intermittent-e-s constitue un enjeu global contre la précarisation et le chômage au même titre que la réduction du temps de travail. Elle pose aussi la question de la place de la culture, menacée, comme bien d'autres dimensions de nos vies, par la marchandisation généralisée et les politiques de régression sociale et d'austérité.Cette volonté de tout marchandiser s'accompagne d'un discours politique et médiatique visant à consolider l’idée qu’aucune autre vision de la société n’est possible, que ce sont les entreprises qui doivent être aidées, et pas les précaires qui seraient  des "profiteur/ses".
    Le 27 février, une première et forte mobilisation nationale a contraint le MEDEF à revoir son discours. Mais d'autres seront nécessaires pour le faire réellement reculer, toujours dans l’unité des professionnels du spectacle, mais aussi par le rassemblement le plus large avec tous les salarié-e-s, les précaires et les privé-e-s d’emploi.

    En savoir plus :

    A propos de l'intermittence du spectacle : intox et désintox